En bref

L'équipe du commissariat du 4e festival du théâtre national de la création féminine marque une halte en évoquant le souvenir du regretté wali de Annaba, Mohamed Menid Sandid, qui avait suivi les deux dernières éditions. La commissaire Sonia et son équipe se souviennent de lui « comme si cela datait d'hier, lorsqu'il invitait toutes les femmes du festival à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme ». « Paix à son âme », lancent-elles, émues.Un espacepour les artistesà AlgerLe « Café Milk Algérie » situé au 7, rue Tanger, Alger centre, change d'activité commerciale. Désormais, et à partir du mois de mai prochain, cet espace qui existe depuis 1957 sera bientôt un lieu consacré aux artistes, nous apprend le comédien professionnel Rabah Lechea, à Annaba. Ce n'est pas tout, ce café restaurant aura une autre appellation : « Le havre des artistes ». Un titre qui lui a été proposé par le journaliste Ben Mohamed. Afin de sauvegarder la mémoire collective, Rabah Lechea a eu la brillante idée d'exposer des portraits photos de l'ensemble des comédiens qui ont créé le théâtre national algérien, mais aussi des chanteurs chaâbi et universels.Mourad Senouci adapte « Pierre patience » de l'Afghan Atik RahimiLe journaliste oranais Mourad Senouci a écrit un nouveau texte théâtral pour adultes. Il s'intitule « Hajrat sabr ». Il sera une adaptation de l'?uvre « Pierre patience » de l'Afghan Atik Rahimi. Ce roman qui a eu le prix Goncourt en 2008 a été adapté sur le petit écran en 2010. Mourad Senouci compte présenter sa pièce le 12 mars à 17h au TRO, théâtre régional d'Oran Abdelkader-Alloula. Soit le jour où un hommage est rendu au regretté homme de théâtre Abdelkader Alloula, à l'initiative de la fondation Abdelkader-Alloula. Ce drame mis en scène par la française Guillemette Grobon, d'une durée de soixante minutes, scindé en sept scènes, interprété par le duo Adila Bendimerad et Adel Bentounssi, raconte l'histoire de l'épouse d'un terroriste qui se trouve dans un coma profond. Elle accomplit son devoir d'épouse en étant aux petits soins de son époux. Petit à petit, la parole se libère.