Algérie

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Egypte/ attentat Une bombe visant un autobus de pèlerins chrétiens sud-coréens a fait quatre morts, hier, dans le Sinaï. Trois Sud-Coréens ainsi que le chauffeur égyptien ont été tués dans cette attaque menée au poste-frontière de Taba, une station balnéaire sur la frontière avec Israël. L'autocar transportait 31 membres d'une Eglise chrétienne de la province méridionale de Jincheon en Corée du Sud ainsi que leur guide. L'attentat a également fait 15 blessés. La bombe a explosé à l'avant du bus alors que le bus, parti du Caire, attendait au passage frontalier de Taba pour entrer en Israël, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Le haut de l'autocar jaune a été littéralement dévasté par la déflagration et l'incendie qui a suivi, et selon le ministère de la Santé, il était impossible de reconnaître les corps. Selon l'ambassadeur sud-coréen en Egypte, il s'agit d'un attentat-suicide.Sahara occidental - Maroc : appel Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a adressé, hier, une lettre au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, qu'il appelle à «prendre les mesures nécessaires contre l'occupant marocain pour mettre un terme aux pratiques barbares contre des civils dont le seul tort est d'avoir manifesté pacifiquement pour des droits légitimes consacrés par la charte et les résolutions des Nations unies». L'appel du président sahraoui intervient suite à «l'intervention brutale», avant-hier, contre plus de 80 manifestants sahraouis dans les villes occupées d'El-Ayoune et de Boujdour. Il ajoute que «ces pratiques ne sont que le prolongement des crimes atroces perpétrés depuis l'occupation militaire du Sahara occidental le 31 octobre 1975, en témoignent les fosses communes de civils sahraouis découvertes récemment». Il a rappelé que les efforts de Christopher Ross, l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations Unies, sont «compromis par l'occupant marocain qui ne «cesse de violer le droit humanitaire international».Centrafrique /Dialogue Le chef du gouvernement centrafricain de transition, André Nzapayéké, a entamé hier, à Bangui, des discussions, appelées à se poursuivre, avec des chefs militaires de la milice «anti-balaka», qui se sont dit «prêts à coopérer». «J'ai rencontré des chefs militaires des ?'anti-balaka'' pour discuter avec eux et voir, en fonction des moyens de l'Etat, comment les réintégrer», a déclaré le Premier ministre, à l'issue de sa rencontre dans un hôtel de Bangui avec dix représentants de cette milice d'autodéfense à majorité chrétienne, accusée d'exactions et de pillages à l'encontre des civils musulmans à Bangui et en province. Un peu plus tôt, un membre de la délégation «anti-balaka» avait annoncé une scission au sein du mouvement. «Les anti-balaka étaient une seule entité mais des problèmes sont apparus et il y a aujourd'hui une scission», a déclaré le capitaine Joachim Kokaté, ancien ministre porte-parole d'un «collectif des officiers libres», créé à l'été 2013.Jordanie/Heurts Des heurts ont éclaté entre des soldats jordaniens et 10 personnes qui tentaient de franchir illégalement la frontière depuis la Syrie. Parmi ces dernières sept ont été blessées et trois autres arrêtées, a annoncé, hier, l'armée jordanienne. «Dix individus ont tenté samedi soir de franchir de manière illégale la frontière depuis le territoire syrien (...) dans un secteur qui n'est pas utilisé par les réfugiés syriens», a expliqué l'armée sur son site internet. Sept membres du groupe ont été blessés et trois autres ont été arrêtés dans des heurts avec les soldats, a rapporté l'armée, ajoutant sans plus de détail que les blessés étaient hospitalisés. La Jordanie affirme que la contrebande à la frontière syrienne a fortement augmenté depuis le début du conflit en 2011 en Syrie et que des centaines de tentatives de trafic ont été déjouées. Le royaume jordanien accueille plus de 500 000 réfugiés syriens, en grande partie dans le nord du pays.




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