Algérie - Revue de Presse

 Étincelle L'armée indienne a accusé le Pakistan de violer le cessez-le-feu le long de la frontière de facto partageant la région du Cachemire entre les deux pays après que des échanges de tir eurent fait deux morts.Deux séparatistes sont morts jeudi soir au cours de violents échanges de tir avec les soldats indiens le long de la ligne de contrôle dans la zone septentrionale de Kerand, a indiqué un porte-parole militaire, J. S. Brar. « Quatorze obus de mortier ont été tirés simultanément à travers la ligne en direction de nos positions », a-t-il ajouté dans un communiqué, qualifiant cette attaque de violation du cessez-le-feu par les soldats pakistanais.L'Inde accuse régulièrement l'armée pakistanaise de couvrir par ces tirs l'infiltration d'éléments séparatistes dans la zone contrôlée par l'Inde, des accusations rejetées par Islamabad. Naufrage Sept enfants ont péri et 25 autres sont portés disparus à la suite du naufrage d'une barque qui transportait des écoliers sur le fleuve Okpara, au nord de la capitale du Bénin, Cotonou, ont indiqué hier les autorités. Selon Sounon Bouko, maire de Tchaourou (300 km au nord de Cotonou), où s'est produit l'accident, une barque transportant une soixantaine d'écoliers, âgés de 6 à 13 ans, qui « rentraient du village de Boukourou (Nigeria), a chaviré sur le fleuve Okpara. Après le naufrage, « sept corps ont été repêchés et 25 sont portés disparus, alors que les autres élèves sont en soins intensifs à l'hôpital », a dit ce responsable, ajoutant que les recherches se poursuivaient pour retrouver d'autres corps ou d'éventuels survivants.Le fleuve d'Okpara est à cheval entre le Bénin et le Nigeria, et fait office de frontières entre les deux pays. Ses crues qui surviennent chaque année provoquent des inondations qui font des victimes. Hariri Le Premier ministre désigné au Liban, Saâd Hariri, a espéré hier que le gouvernement d'union qu'il tente de former depuis des mois verrait bientôt le jour, précisant qu'il continuait de mener des tractations avec la minorité menée par le Hezbollah. « L'atmosphère est très positive (...). Je ne veux pas fixer de date, mais si Dieu le veut, nous sommes proches de la formation d'un gouvernement », a indiqué M. Hariri après une rencontre avec le président de la République, Michel Sleimane. « Tout le monde coopère en vue de la formation d'un gouvernement le plus tôt possible (...) et ce sera un gouvernement d'union nationale », a-t-il précisé.Près de cinq mois après les législatives du 7 juin, la majorité parlementaire de M. Hariri, soutenue par l'Occident, et la minorité menée par le Hezbollah et appuyée par Damas et Téhéran n'arrivent pas à se mettre d'accord sur la répartition de portefeuilles. Autodétermination Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a appelé le gouvernement espagnol à soutenir l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara occidental et à agir pour garantir le respect des droits humains du peuple sahraoui, a rapporté hier l'agence sahraouie SPS. Le président sahraoui a demandé à l'Espagne de « peser de tout son poids pour garantir le respect des droits de l'homme au Sahara occidental et soutenir une solution politique au conflit qui puisse garantir une paix durable basée sur le droit d'autodétermination du peuple sahraoui », a précisé SPS.M. Abdelaziz a lancé cet appel après avoir rencontré le président du gouvernement autonome de la principauté des Asturies, Vicente Alvarez. Ce dernier a réaffirmé que son gouvernement « continuera à soutenir le peuple sahraoui jusqu'à ce qu'il puisse jouir de ses droits légitimes garantis par la Charte des Nations unies ».  >   
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