Algérie

En bref


 Implication Plus de 550 personnes « impliquées » dans les violentes manifestations qui ont éclaté jeudi à Kampala, la capitale ougandaise, et qui ont fait 14 morts, ont été interpellées par les forces de sécurité, a annoncé hier la police. « Plus de 550 personnes ont été arrêtées ». « Les enquêtes sont en cours dans les différents postes de police où les suspects sont actuellement détenus », a déclaré à la presse la porte-parole de la police, Judith Nabakoba.Quatorze personnes, dont un soldat, ont été tuées et plus de 80 autres blessées, dont une douzaine d'officiers de police, au cours des manifestations violentes qui ont secoué ces trois derniers jours Kampala. Les émeutes avaient éclaté lors d'une manifestation de partisans du Kabaka, souverain traditionnel du royaume du Buganda, dans le sud de l'Ouganda. Plainte La présidence iranienne a porté plainte contre un important religieux réformateur, le grand ayatollah Youssef Sanei, accusé d'avoir tenu des propos insultants envers Mahmoud Ahmadinejad. En août dernier, le quotidien ultraconservateur Javan avait accusé l'ayatollah Sanei d'avoir traité le président Ahmadinejad de « bâtard » lors d'un discours devant ses fidèles, ce que le religieux avait démenti. M. Ahmadinejad a des relations difficiles avec une partie des dignitaires religieux iraniens, dont plusieurs ont refusé de le féliciter pour sa réélection, contestée par l'opposition. Sanei est une « source d'imitation » en Iran et a de nombreux fidèles à travers le pays. Ces dernières années, il s'est fait connaître par ses fatwas en faveur de l'égalité des droits entre hommes et femmes. Il est aussi très proche des dirigeants de l'opposition réformatrice. Prison Plus de 600 Afghans détenus par l'armée américaine dans la base militaire de Bagram, au nord de Kaboul, pourront désormais contester leur détention et faire appel à des témoins, a indiqué hier le Washington Post. Ces prisonniers sont en détention depuis plusieurs années, sans jouir du droit d'avoir accès à des avocats ou encore celui de savoir les raisons de leur emprisonnement. Un responsable de l'Administration américaine, cité par le journal, affirme que pour les Afghans, la prison de Bagram figure parmi les raisons majeures derrière le sentiment de rejet vis-à-vis des forces de la coalition internationale. D'après le nouveau système, tout détenu se verra assigner un officiel de l'armée américaine, et non pas un avocat, pour le représenter et examiner les preuves contre lui.  >   
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