Algérie

En bref



Rencontre à Adrar sur le développement dans les régions du sud-ouest
Une rencontre régionale de concertation sur le développement local dans les wilayas du sud-ouest du pays s'ouvre aujourd'hui à Adrar. Cette rencontre, qui se tient après celle organisée la semaine dernière à Ghardaïa pour les wilayas du sud-est (Ghardaïa, El Oued, Biskra, Laghouat, Ouargla), concerne les wilayas d'Adrar, Tamanrasset, Béchar et Tindouf. La rencontre qui regroupera des investisseurs, des opérateurs économiques, des agriculteurs, des responsables locaux et des représentants de la société civile, sera animée par les ministres de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, et des Ressources en eau, Hocine Necib, ainsi que le Secrétaire général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, Abdelkader Ouali. Accompagnés d'une trentaine de cadres centraux, les représentants du gouvernement débattront avec les acteurs locaux des différents programmes d'investissement engagés en faveur des régions du sud du pays et des opportunités d'impulser une dynamique de développement dans ces régions qui recèlent d'importantes potentialités. Il s'agit d'une «occasion supplémentaire de rapprochement de tous les acteurs pour réduire les distances, de favoriser dans la participation l'action d'améliorer la mise en oeuvre des programmes de développement engagés en faveur des wilayas du sud», indique le ministère de l'Agriculture.
Eradication de 110 marchés informels à Alger
L'opération d'éradication des marchés informels a permis la suppression, jusqu'à janvier dernier, de 110 marchés informels à Alger où activaient plus de 4 300 commerçants dont 25% ont bénéficié de locaux commerciaux dans des marchés réguliers, selon le responsable de l'organisation des marchés et de la concurrence à la Direction du Commerce de la wilaya d'Alger, Salah Bougaga. L'opération a permis de recenser 162 marchés informels au niveau d'Alger où exerçaient quelque 7 500 vendeurs dans le cadre du plan d'éradication du commerce informel entamé en août 2012, a-t-il indiqué. Le nombre de marchés informels à Alger, a-t-il ajouté, a «considérablement augmenté» après janvier 2011, atteignant 173 marchés où activaient 6 000 vendeurs contre 52 marchés fin 2010, précisant que la capitale compte encore 52 marchés parallèles où activent 3 200 vendeurs. Ces espaces commerciaux non organisés ont bloqué les accès aux places publiques et aux routes et occupent anarchiquement les rues causant une situation d'insécurité et de concurrence déloyale et un
dysfonctionnement avec les commerçants réguliers titulaires d'un registre de commerce. M. Bougaga a, d'autre part, affirmé que 50% des structures commerciales réalisées de 2004 à 2009 sont désertées par les bénéficiaires au motif que les pouvoirs publics avaient choisi des lieux inappropriés à l'activité commerciale, rappelant que 33 marchés de proximité et 31 marchés couverts avaient été réalisés durant cette période.


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