Algérie

En attendant la providence Sous la plume



En attendant la providence                                    Sous la plume
On dit toujours que les choses ont une fin, le stand by politique et économique devrait obéir à la règle. La vacance des sept ministères joue les prolongations et les ministres intérimaires doivent prier chaque jour que Dieu fait, d'être déchargés d'un fardeau qui leur est tombé dessus depuis l'installation du nouveau Parlement. Le pays tourne mal, certaines entreprises sont défaillantes, les Algériens ne connaissent toujours pas le nom de leur Premier ministre. Les supputations vont bon train et chacun y va de sa propre analyse ou de tuyaux en avançant des noms tout en jurant par tous les saints qu'ils détiennent le secret de la boîte noire. En attendant, la rue est livrée à la délinquance, à la flambée des prix et les grands magnats de l'informel ont accaparé tous les trottoirs et ruelles des grandes villes du pays avec la bénédiction des pouvoirs publics et font la loi. La rentrée parlementaire doit se faire le 3 du mois prochain, les départements ministériels travaillent sur la loi de finances 2013, toujours avec le même chef de l'exécutif qui aurait laissé entendre que des changements dans la loi de finances 2013 pourraient connaître certaines corrections. Des modifications qui voudraient sans doute dire que les ministres qui ont rejoint le Parlement seront enfin remplacés ou alors qu'il sera carrément procédé à un lifting complet du gouvernement. Et pour paraphraser Jean de La Fontaine : «Tout vient à point pour qui sait attendre». Et les Algériens sont passés maîtres dans l'art d'attendre. Ils attendent, un boulot, un logement, une revalorisation de leur salaire, devant les bureaux de poste ainsi que d'autres échéances politiques avec en toile de fond une crise financière qui ne dit pas son nom et qui les obligera à serrer la ceinture d'un cran. Ce qu'ils attendent un peu, comme le messie, c'est un nouveau gouvernement que des indiscrétions donnent imminent pour mettre fin au désordre social qui plombe le pays.
On dit toujours que les choses ont une fin, le stand by politique et économique devrait obéir à la règle. La vacance des sept ministères joue les prolongations et les ministres intérimaires doivent prier chaque jour que Dieu fait, d'être déchargés d'un fardeau qui leur est tombé dessus depuis l'installation du nouveau Parlement. Le pays tourne mal, certaines entreprises sont défaillantes, les Algériens ne connaissent toujours pas le nom de leur Premier ministre. Les supputations vont bon train et chacun y va de sa propre analyse ou de tuyaux en avançant des noms tout en jurant par tous les saints qu'ils détiennent le secret de la boîte noire. En attendant, la rue est livrée à la délinquance, à la flambée des prix et les grands magnats de l'informel ont accaparé tous les trottoirs et ruelles des grandes villes du pays avec la bénédiction des pouvoirs publics et font la loi. La rentrée parlementaire doit se faire le 3 du mois prochain, les départements ministériels travaillent sur la loi de finances 2013, toujours avec le même chef de l'exécutif qui aurait laissé entendre que des changements dans la loi de finances 2013 pourraient connaître certaines corrections. Des modifications qui voudraient sans doute dire que les ministres qui ont rejoint le Parlement seront enfin remplacés ou alors qu'il sera carrément procédé à un lifting complet du gouvernement. Et pour paraphraser Jean de La Fontaine : «Tout vient à point pour qui sait attendre». Et les Algériens sont passés maîtres dans l'art d'attendre. Ils attendent, un boulot, un logement, une revalorisation de leur salaire, devant les bureaux de poste ainsi que d'autres échéances politiques avec en toile de fond une crise financière qui ne dit pas son nom et qui les obligera à serrer la ceinture d'un cran. Ce qu'ils attendent un peu, comme le messie, c'est un nouveau gouvernement que des indiscrétions donnent imminent pour mettre fin au désordre social qui plombe le pays.


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