Algérie

Elèves, acteurs de la société civile... la confusion s'installe



Elèves, acteurs de la société civile... la confusion s'installe
Depuis plus d'une semaine des réunions et rencontres sont organisées par des acteurs de la société civile, dont des journalistes, écrivains, visant à préparer d'éventuelles manifestations contre le quatrième mandat, à plus d'un mois, de l'élection présidentielle du 17 avril.Depuis plus d'une semaine des réunions et rencontres sont organisées par des acteurs de la société civile, dont des journalistes, écrivains, visant à préparer d'éventuelles manifestations contre le quatrième mandat, à plus d'un mois, de l'élection présidentielle du 17 avril.La société civile emboîte le pas aux partis politiques et prend le devant de la scène en essayant de s'organiser et mener ainsi des mouvements de protestations pour exprimer un refus « catégorique » face au quatrième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, réclamant aussi un changement démocratique.Une manifestation, la première du genre depuis l'annonce, depuis Oran, de la candidature du président sortant, samedi dernier, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, sera organisée, aujourd'hui même à Alger-Centre, selon les initiateurs de ce mouvement. Nombreux ont été ceux qui, à la suite de cette annonce, ont exprimé leur mécontentement et les réactions ne se sont pas faites attendre.Mercredi et jeudi derniers, des élèves de différents lycées et collèges de la wilaya de Béjaïa sont sortis manifester leur colère contre la tutelle, ce qui a donné lieu à des émeutes après que des collégiens aient pris d'assaut des édifices de l'académie, qui se trouve au centre-ville, sur le boulevard de la Liberté.L'intervention des forces de l'ordre n'a fait qu'envenimer la situation. Durant cette marche, il a été constaté que des slogans contre le quatrième mandat ont été scandés. Or selon nos informations, cette situation a laissé place à des manipulations, discréditant de la sorte le mouvement de protestation des élèves, qui n'a en fait rien à voir avec l'élection présidentielle.Ce ne sont pas ces mêmes élèves qui en seraient à l'origine mais bel et bien des militants et sympathisants de deux partis politiques, à savoir le Parti socialiste des travailleurs (PST) et Jil Jadid (Nouvelle génération) qui se sont mêlés à la foule créant ainsi la confusion. Selon les témoignages recueillis, les appels au calme des autorités locales, notamment le wali qui a fait appel aux parents d'élèves en vue de mettre un terme à ces violences.Ce mouvement de protestation, faut-il le préciser, ne semble pas vouloir s'arrêter à ce stade et l'on s'attend à voir d'autres mouvements du genre se répéter dans la ville de Béjaïa.La société civile emboîte le pas aux partis politiques et prend le devant de la scène en essayant de s'organiser et mener ainsi des mouvements de protestations pour exprimer un refus « catégorique » face au quatrième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, réclamant aussi un changement démocratique.Une manifestation, la première du genre depuis l'annonce, depuis Oran, de la candidature du président sortant, samedi dernier, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, sera organisée, aujourd'hui même à Alger-Centre, selon les initiateurs de ce mouvement. Nombreux ont été ceux qui, à la suite de cette annonce, ont exprimé leur mécontentement et les réactions ne se sont pas faites attendre.Mercredi et jeudi derniers, des élèves de différents lycées et collèges de la wilaya de Béjaïa sont sortis manifester leur colère contre la tutelle, ce qui a donné lieu à des émeutes après que des collégiens aient pris d'assaut des édifices de l'académie, qui se trouve au centre-ville, sur le boulevard de la Liberté.L'intervention des forces de l'ordre n'a fait qu'envenimer la situation. Durant cette marche, il a été constaté que des slogans contre le quatrième mandat ont été scandés. Or selon nos informations, cette situation a laissé place à des manipulations, discréditant de la sorte le mouvement de protestation des élèves, qui n'a en fait rien à voir avec l'élection présidentielle.Ce ne sont pas ces mêmes élèves qui en seraient à l'origine mais bel et bien des militants et sympathisants de deux partis politiques, à savoir le Parti socialiste des travailleurs (PST) et Jil Jadid (Nouvelle génération) qui se sont mêlés à la foule créant ainsi la confusion. Selon les témoignages recueillis, les appels au calme des autorités locales, notamment le wali qui a fait appel aux parents d'élèves en vue de mettre un terme à ces violences.Ce mouvement de protestation, faut-il le préciser, ne semble pas vouloir s'arrêter à ce stade et l'on s'attend à voir d'autres mouvements du genre se répéter dans la ville de Béjaïa.




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