Algérie

Election présidentielle



Election présidentielle
L'ancien chef du gouvernement, Ali Benflis croit en sa bonne étoile. En effet, lors d'une déclaration solennelle à la presse, l'ex -secrétaire général du FLN a annoncé officiellement sa candidature à l'élection présidentielle prévue le 17 avril 2014, affirmant que son programme reposait essentiellement sur la création d'emplois et la lutte contre la corruption."Animé par le devoir national, j'entends proposer et mener avec tous les Algériens et Algériennes un projet et un programme ambitieux pour l'Algérie, c'est pourquoi j'ai pris la décision de me porter candidat à la présidentielle de 2014", a souligné M. Benflis.S'exprimant sur les grandes lignes de son programme, M. Benflis a promis "une adaptation des méthodes pédagogiques aux exigences de modernité technique et d'apprentissage de la citoyenneté", soulignant "l'impérative" réforme du système de santé à travers "l'amélioration de la qualité des soins et la formation des personnels médical et paramédical". Au volet économique, il a indiqué que son projet "met la création d'emplois au c?ur de ses priorités et place l'entreprise publique et privée au centre de la création de richesses nationales et de croissance économique parallèlement à la réduction de la dépendance aux recettes des hydrocarbures et en encourageant les diverses formes de partenariat avec l'étranger". Par ailleurs, le candidat à la prochaine présidentielle s'est engagé à combattre de "façon permanente et déterminée" les causes "profondes" du fléau de la corruption, appelant à "un pacte national contre la corruption", en ce sens que la justice doit être "la base de l'organisation de l'Etat, car déterminant le niveau de confiance entre l'Etat et les citoyens et libérant le juge de toutes les entraves pour qu'il puisse rendre justice en son âme et conscience". Après avoir mis l'accent sur le droit à l'information et la liberté d'expression qui "constituent un acquis arraché de haute lutte", il a promis de "consolider ce droit dans le cadre de la loi". "J'appelle à la participation et au concours de tous les acteurs politiques et socioéconomiques à l'effort de réappropriation de la culture de dialogue et de concertation", a poursuivi M. Benflis, estimant que "l'Algérie a un besoin urgent d'institutions fortes et représentatives autour desquelles doit s'articuler la vie de notre pays".




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