Considéré à juste titre comme étant la saison des pauvres et des famillesaux faibles revenus, l'été qui est également la saison préférée avec ce qu'ilcharrie comme sensations de joie, de repos, d'évasion, après une année de durlabeur, ne semble pas, cette fois-ci, mettre du baume dans les coeurs des genssurtout ceux aux revenus modestes avec l'envolée des prix des fruits etlégumes, d'habitude abordables et à la portée de toutes les bourses, enpareille saison.Situation qui n'est pas le fait du hasard mais due à la spéculation d'unepart et aux impondérables climatiques d'autre part à l'image des pluies du moisde mai et juin qui ont affecté la plupart des cultures saisonnières comme latomate entre autres. A cela s'ajoutent les maladies parasitaires qui ont affectéla pomme de terre et le siroco avec des pics de chaleur ayant atteint les 45°,le mois passé, provoquant des pertes évaluées de 15 à 30% sur les vignobles etautres fruits comme les pêches et les abricots. Enfin, un petit tour dans lesmarchés permet de constater que les prix affichés sont aussi chauds que l'étéavec le kilo de pomme de terre qui dépasse les 50 DA, la tomate qui atteint les50 DA sans parler des fruits qui affichent des prix jamais égalés. En effet, lekilo de pêches est à 180 DA, les abricots à 120 DA et le raisin à 180 DA.Seules les bananes se vendent à un prix qui oscille entre 80 et 100 DA.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 12/07/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : A O
Source : www.lequotidien-oran.com