El Eulma en bref

Prolifération de moustiques à la Cité Goutali

La cité Goutali, située
sur les hauteurs de la ville
d’El Eulma, est connue depuis toujours par la prolifération
et, surtout, la férocité de ses moustiques. Pour les résidants, la présence des moustiques, tout au long de l’année,
est un véritable phénomène.
Eté comme hiver, les moustiques rendent la vie
très dure aux habitants, plus particulièrement les enfants. En dépit de l’utilisation de moustiquaires et de pastilles anti-moustiques, ces insectes trouvent toujours un moyen
de s’introduire dans les maisons. Par endroits, les riverains de oued Djihadi sont obligés de garder en permanence les fenêtres closes, rien que pour éviter
les moustiques. A l’approche de la période estivale, l’inquiétude des résidants
est à son paroxysme, et la peur s’installe dans chaque foyer,
en raison de la prolifération
des moustiques, d’autant plus que la campagne de lutte contre le fléau se fait désirer. Evidemment, le pullulement des moustiques dans cet endroit s’explique, selon certains habitants, par la présence de l’oued charriant toutes sortes de déchets et de germes, en plus de la saleté et des ordures jetées, ça et là, à travers la cité. Une campagne de nettoyage est en discussion pour essayer d’alléger, un tant soit peu, la souffrance de la population en cette période de grande chaleur.              
      Inspection de la concurrence et des prix : Une infrastructure inadaptée

Cela va en contradiction avec la vocation de la ville d’El Eulma, connue par sa notoriété commerciale à travers le territoire national, lorsque
on voit une vingtaine de fonctionnaires de l’inspection de la concurrence et des prix travailler dans des conditions très difficiles à cause de l’exiguïté du service dans lequel ils sont entassés.
Il ne faut pas s’attendre à grand-chose, ni demander
plus à ces employés
en dépit de leur conscience professionnelles irréprochable et surtout, leur courage
d’aller toujours de l’avant
pour mener à bien leurs missions. Le service dans lequel ces agents sont
parqués se trouve à la cité
des 400 Logements, en fait
un F3 aménagé, datant de l’année 1979, et dépourvu
de toutes les commodités.
A chaque réception, c’est toujours la galère pour
les préposés comme pour
le public, qui souffre de l’absence d’une salle d’attente. Evidemment, le manque d’espace et de commodités auront à la longue, si rien
n’est fait pour améliorer la situation, des répercussions négatives sur le rendement du personnel.