Entamées au début de cette semaine, ces opportunités sont offertes, en premier lieu, aux agriculteurs et à leurs enfants qui se destinent à prendre la relève dans le travail de la terre et s?assignent comme objectif de développer leurs capacités en les soumettant à un enseignement pratique qui fait appel à des méthodes modernes qui ne requièrent pas un niveau d?instruction, mais uniquement des prédispositions pour apprendre. Les connaissances qui seront inculquées sur l?économie rurale porteront sur les choix à privilégier dans l?adoption des cultures appropriées en fonction de la nature des sols et des contraintes climatiques. Le stage qui doit se tenir au niveau de l?Institut de Technologie Agricole et de la Formation continue à Aïn Témouchent, où les postulants se rendront pour des séances d?apprentissage d?une semaine, s?articule autour de quatre grands thèmes qui concernent l?oléiculture, la viticulture, les phytopathologies qui touchent l?arbre fruitier, la création et l?entretien de pépinières et, enfin, l?apiculture. Les cours, ouverts aux personnes sans qualification pré-établie, prendront la forme pratique la plus engageante, en relation avec le métier pressenti, sous la houlette de formateurs agréés par le Bureau International du Travail, qui justifient par conséquent de toute la dextérité pédagogique nécessaire, pour affermir le savoir faire de leurs élèves. Ces cycles de préparation visent, en plus de la réhabilitation des métiers de sellerie, de maroquinerie, du travail du cuivre, entre autres, à mieux les intégrer dans le paysage économique local, puis en les arrachant à l?ornière où ils ont fini par péricliter, assurer au produit une qualité capable de soutenir la concurrence.
Posté Le : 06/03/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Mokadem Slimane
Source : www.elwatan.com