Pour mettre fin à la surcharge des classes, le ministre de l'Education nationale compte sur l'engagement des walis.
«S'il y a surcharge des classes c'est parce qu'il y a eu retard dans la réalisation des infrastructures. Nous allons cette année rattraper le retard», a déclaré ce lundi M. Baba Ahmed sur les ondes de la radio Chaine 3.
À cette fin, le ministère, mène, selon son premier responsable, une action envers l'ensemble des walis pour les sensibiliser afin qu'ils mettent le paquet pour pouvoir réaliser et/ou terminer les établissements qui sont en cours de réalisation. « Cela nous permettra d'aborder la rentrée de septembre 2013 dans de meilleures conditions que cette année. C'est-à-dire avoir un nombre d'élèves par classes qui serait moins important que celui de l'année en cours », dit il.
Le ministre a indiqué également que le secteur connaîtra durant l'année scolaire en cours l'installation de trois instances externes au ministère et qui auront pour mission d'apporter les critiques et les corrections nécessaires. Il s'agit du conseil national des programmes, le conseil national de l'éducation et de la formation et de l'observatoire dont la création est prévue par la loi d'orientation 04/08 du 23 janvier 2008.
Le ministère devra par ailleurs i rentrer en concertation à partir de janvier 2013 avec les différents intervenants dans le secteur afin d'établir «un bilan d'étape pour essayer de corriger certains points qui relève uniquement du secteur, comme par exemple l'allégement du programme et la révision de certains programmes », dit le ministre.
« Les moyens existent, on ne sait pas manager, il n'y a pas de suivi dan des opérations », estime le successeur de Benbouzid.
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Posté Le : 26/11/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Mina Adel
Source : www.elwatan.com