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Economie verte



Economie verte
De OranAppel ? «L'économie verte nécessite des investissements colossaux que les pays africains ne sont pas en mesure de réaliser sans le concours des pays industrialisés».Les préoccupations face aux menaces environnementales, la mise en place d'un régime climatique ambitieux, l'interdiction de l'importation des déchets dangereux en Afrique et un nouveau partenariat mondial. Ce sont là les points les plus importants adoptés, hier, au Centre des conventions d'Oran, par les ministres africains de l'Environnement ayant pris part à la Conférence africaine de 2 jours sur l'économie verte dans le cadre du «développement durable et l'éradication de la pauvreté». Dans la déclaration historique d'Oran, les participants ont réaffirmé leur attachement aux objectifs de l'Union africaine, leur détermination à éradiquer la pauvreté, la création de postes d'emploi et l'amélioration de la santé. Cela outre la mise en ?uvre de la déclaration de Rio sur l'environnement et le développement et l'importance de l'implication des pays africains dans la prise de décision et le renforcement de leur représentation dans les instances économiques et financières mondiales. Tout en réitérant leur engagement à réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), le groupe de travail estime, à travers sa déclaration, que l'économie verte en tant qu'une des voies pour la réalisation du développement durable et l'éradication de la pauvreté doit contribuer à la création d'une croissance durable et d'emplois décents. Toutefois, «l'économie verte nécessite des investissements colossaux que les pays africains ne sont pas en mesure de réaliser sans le concours des pays industrialisés». Les participants ont exprimé leur préoccupation ?face aux menaces environnementales qui entravent le développement économique du Continent africain. En outre, les responsables africains de l'Environnement appellent au renforcement de la mise en ?uvre de la Convention de Bamako sur l'interdiction de l'importation des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontaliers et la gestion des déchets dangereux en Afrique.Enfin, les participants ont enregistré avec satisfaction la Conférence d'Oran comme étape importante dans le renforcement des liens de coopération et de consultations africaines dans le domaine du développement durable.S. L.Appel ? «L'économie verte nécessite des investissements colossaux que les pays africains ne sont pas en mesure de réaliser sans le concours des pays industrialisés».Les préoccupations face aux menaces environnementales, la mise en place d'un régime climatique ambitieux, l'interdiction de l'importation des déchets dangereux en Afrique et un nouveau partenariat mondial. Ce sont là les points les plus importants adoptés, hier, au Centre des conventions d'Oran, par les ministres africains de l'Environnement ayant pris part à la Conférence africaine de 2 jours sur l'économie verte dans le cadre du «développement durable et l'éradication de la pauvreté». Dans la déclaration historique d'Oran, les participants ont réaffirmé leur attachement aux objectifs de l'Union africaine, leur détermination à éradiquer la pauvreté, la création de postes d'emploi et l'amélioration de la santé. Cela outre la mise en ?uvre de la déclaration de Rio sur l'environnement et le développement et l'importance de l'implication des pays africains dans la prise de décision et le renforcement de leur représentation dans les instances économiques et financières mondiales. Tout en réitérant leur engagement à réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), le groupe de travail estime, à travers sa déclaration, que l'économie verte en tant qu'une des voies pour la réalisation du développement durable et l'éradication de la pauvreté doit contribuer à la création d'une croissance durable et d'emplois décents. Toutefois, «l'économie verte nécessite des investissements colossaux que les pays africains ne sont pas en mesure de réaliser sans le concours des pays industrialisés». Les participants ont exprimé leur préoccupation ?face aux menaces environnementales qui entravent le développement économique du Continent africain. En outre, les responsables africains de l'Environnement appellent au renforcement de la mise en ?uvre de la Convention de Bamako sur l'interdiction de l'importation des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontaliers et la gestion des déchets dangereux en Afrique.Enfin, les participants ont enregistré avec satisfaction la Conférence d'Oran comme étape importante dans le renforcement des liens de coopération et de consultations africaines dans le domaine du développement durable.




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