Algérie

Ecoles privées, seules bénéficiaires



Les seuls bénéficiaires de cette situation peu reluisante sont, incontestablement, les propriétaires des écoles privées et de centres de formation en langues étrangères. Ne dit-on pas que «le malheur des uns fait le bonheur des autres».
Le nombre des écoles qui augmente chaque année explique le besoin de formation et surtout la demande sur l'enseignement des langues étrangères. Ce phénomène qui ne touchait que les grandes villes il y a quelques années, s'étend et se généralise pour toucher plusieurs régions du pays.
Ainsi, on trouve quotidiennement dans les journaux, des annonces formulées par des établissements privés mais aussi par d'autres personnes généralement des enseignants retraités ou pas, qui offrent leur service d'enseignement à des personnes désirant améliorer leur niveau en langues étrangères. Certaines personnes qui en ont fait l'expérience s'accordent à dire que même dans ces écoles des lacunes sont souvent signalées. «Dans ces centres ou ces écoles de formation c'est le gain qui prime.
Ainsi même si on ne mérite pas de passer à un niveau supérieur on y accède quand même car on paye. De plus, les critères et les examens de passage d'un niveau à un autre ne sont qu'une simple formalité», affirme, un étudiant en sciences politiques qui a suivi des cours de soutien d'anglais pendant presque deux ans dans une école privée située à Bouzaréah, sur les hauteurs d'Alger.


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