Le Conseil exécutif de l'Union africaine (UA), réuni lundi en session extraordinaire, a réaffirmé le droit de tous les Etats membres de l'UA à prendre part au 5e Sommet Union africaine- Union européenne, prévu à Abidjan les 29 et 30 novembre 2017.Le Conseil exécutif de l'Union africaine (UA), réuni lundi en session extraordinaire, a réaffirmé le droit de tous les Etats membres de l'UA à prendre part au 5e Sommet Union africaine- Union européenne, prévu à Abidjan les 29 et 30 novembre 2017.
Cela a été rendu possible à travers l'adoption d'une décision qui réaffirme la nécessité du respect scrupuleux des décisions de l'Union africaine, en particulier la décision 942 de la 31e session ordinaire du Conseil exécutif de juillet 2017, qui en plus de la réaffirmation du droit de tous les Etats membres à participer aux réunions où l'Union africaine est partie prenante, prévoit la sanction de priver les Etats membres qui ne s'y conforment pas, du droit d'abriter desréunions de l'Union.
Cette même décision mandate le président de la commission de l'Union africaineà poursuivre ses consultations dehaut niveau pour débloquer cette situation,dans un délai de dix jours.
Faute d'aboutissement de ces consultationssur la base du respect du droit detous les Etats membres à prendre part au Sommet UA-UE, la décision prévoit la mise en oeuvre automatique des sanctions prévues par la décision 942, àsavoir le transfert du Sommet vers le siège de l'Union africaine.Cela sonne comme un ultimatum à la Côte d'Ivoire.
Ce pays, fidèle allié du Maroc, est en train de manoeuvrer afind'exclure la RASD de ce rendez-vous.D'ailleurs la RASD, contrairement auxautres pays membres de l'UA, n'a as encore reçu d'invitation afin de participerau sommet UA-UE. D'où la menace de transférer le lieu dusommet à Addis Abeba au cas ou la Côted'ivoire tergiverse.Autant dire qu'il s'agit là d'un écheccinglant de la diplomatie marocaine quia usé de tous les subterfuges pour écarter la RASD.
Cela a été rendu possible à travers l'adoption d'une décision qui réaffirme la nécessité du respect scrupuleux des décisions de l'Union africaine, en particulier la décision 942 de la 31e session ordinaire du Conseil exécutif de juillet 2017, qui en plus de la réaffirmation du droit de tous les Etats membres à participer aux réunions où l'Union africaine est partie prenante, prévoit la sanction de priver les Etats membres qui ne s'y conforment pas, du droit d'abriter desréunions de l'Union.
Cette même décision mandate le président de la commission de l'Union africaineà poursuivre ses consultations dehaut niveau pour débloquer cette situation,dans un délai de dix jours.
Faute d'aboutissement de ces consultationssur la base du respect du droit detous les Etats membres à prendre part au Sommet UA-UE, la décision prévoit la mise en oeuvre automatique des sanctions prévues par la décision 942, àsavoir le transfert du Sommet vers le siège de l'Union africaine.Cela sonne comme un ultimatum à la Côte d'Ivoire.
Ce pays, fidèle allié du Maroc, est en train de manoeuvrer afind'exclure la RASD de ce rendez-vous.D'ailleurs la RASD, contrairement auxautres pays membres de l'UA, n'a as encore reçu d'invitation afin de participerau sommet UA-UE. D'où la menace de transférer le lieu dusommet à Addis Abeba au cas ou la Côted'ivoire tergiverse.Autant dire qu'il s'agit là d'un écheccinglant de la diplomatie marocaine quia usé de tous les subterfuges pour écarter la RASD.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 18/10/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com