«Il existe une convention entre les trois pays qui se partagent ces eaux, l’Algérie, la Libye et la Tunisie. L’on se retrouve dans le cadre de l’Organisme sahélo-saharien (OSS) afin de faire le point chaque année. La prochaine rencontre est prévue pour la fin de cette année», a ajouté le ministre. Lors de ces réunions, les autorités font le bilan des volumes exploités par chacun des pays.
«Pour l’instant, il n’y a pas eu de contacts avec les nouveaux responsables. Mais globalement, il est facile de vérifier les consommations et de savoir si quelqu’un a triché. Ce qui n’est pas le cas», a affirmé M. Sellal. Ces nappes phréatiques, appelées «réseau de stockage des eaux souterraines du nord du Sahara», couvrent plus d’un million de kilomètres carrés, dont la majeure partie se trouve à l’intérieur de l’Algérie.
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Posté Le : 05/10/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Ghania Lassal
Source : www.elwatan.com