Du «grand n'importe quoi»

Nous entrons dans une galerie d'arts (publique) algéroise où se déroule une expo collective. C'est à ce moment que les deux «réceptionnistes» décident de commencer (ou reprendre) leur discussion (à haute voix). «Le Hirak est zaâma contre les harkis et ils vont jouer un match de football contre la France», dit l'un à l'autre, qui approuve derechef. «Du n'importe quoi !»Heureusement que dans un musée public, quelques centaines de mètres plus loin, le visiteur est accueilli par une jeune femme aimable et souriante et des agents polis et discrets.
K. B.
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