Algérie

DU 1er AU 4 OCTOBRE DERNIER À BEJAIA Les Rencontres du film documentaire


DU 1er AU 4 OCTOBRE DERNIER À BEJAIA                                    Les Rencontres du film documentaire
C'est lundi dernier que se sont ouvertes les Rencontres du film documentaire ' Béjaïa Doc ' : une manifestation culturelle que de nombreux cinéphiles, déjà aux anges, accueillent avec jubilation et présentée par l'association Cinéma et Mémoire et Kaïna Cinéma.
Pour la première journée du lundi 1er octobre 2012, il a été programmé, de 18h à 20h30, juste après l'accueil des invités, la projection de Le festival panafricain d'Alger (1969) de William Klein, et d'une durée de 90 minutes. Et c'est une cinémathèque flambant neuve, en fait 'sortant" que se sont déroulées ces rencontres, c'est-à-dire du lundi 1er au 4 du même mois. Des rencontres qui ont été gorgées de plaisir pour les yeux et pour l'esprit mais en même temps perçues comme 'pas suffisamment nombreuses et à la fois trop courtes pour pouvoir communiquer à satiété avec de fort intéressantes personnes, venues aussi bien d'autres régions du pays (Algérie) que de l'étranger", regrette (avant terme !) un 'fana" du septième art. Ainsi donc, en 'hors-d''uvre" riche de sons, de lumière et de couleurs, Le festival panafricain d'Alger, Alger, juillet 1969.
Pendant une semaine, une déferlante humaine venue de toute l'Afrique s'abat sur la ville à l'occasion du 1er Festival panafricain d'Alger.
Le mot d'ordre : affirmer la culture d'un continent... Dans une alchimie de sons, de couleurs de langues et de danses, l'Algérie vit un moment unique de l'histoire africaine. En marge des rencontres, l'un des piliers en or massif de Béjaïa-doc, Habiba Djahnine en l'occurrence, la responsable pédagogique de l'association, a fait savoir que 'durant Béjaia-doc (Les actuelles rencontres), il va être présenté une série de six films dont les apprentis-réalisateurs sont de diverses régions d'Algérie. À savoir Alger, Blida, Béjaïa, Constantine, Chelghoum Laïd, Tizi Ouzou". Habiba Djahnine qui estime, par ailleurs, que 'le documentaire est le style cinématographique idoine en ce sens qu'il reflète fidèlement la réalité sociale et individuelle, le vécu d'une personne ou d'un groupe. Ces apprentis-réalisateurs, auteurs des six produits programmés pour la dernière journée, autrement dit seulement après la projection, trois jours durant, de films de professionnels, verront par la suite leurs 'uvres diffusées en Algérie et même ailleurs. Et ils auront suivi un cycle de formation de six mois en atelier de création documentaire comme nous en organisons un chaque année, encadré par des formateurs professionnels que notre association recrute de divers pays étrangers".
M B
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