Droit de réponse
Suite à la publication, samedi 5 mars 2005, de l?article intitulé « Béchar - Scandale dans le secteur de l?habitat », j?ai l?honneur de vous adresser un éclairage objectif . Il est porté dans l?article que le marché a été attribué à B. Boualem sans aucun document juridique ni registre de commerce. Il est nécessaire de préciser que ledit marché, relatif à la construction des 80/470 logements, a été attribué à une personne morale, en l?occurrence la Sarl GTI dont, moi, B. Boualem, ne faisait aucunement partie en 1994, ni en tant qu?associé ni en tant que gérant. Donc, il y a lieu de s?interroger sur la citation de mon nom dans toute la démarche qui a précédé l?établissement et le lancement du marché, objet de cet article diffamatoire. Selon l?article, B. Boualem aurait bénéficié de « largesses », recevant une avance due à l?installation de chantier de six millions de dinars (6 000 000 DA). M. Smaïn (et non pas M. Smaïl comme rapporté dans l?article en question) reste tenu d?en apporter la preuve. Pour le reste de l?article, je ne me sens aucunement concerné et me permets de signaler que l?entrepreneur dénonciateur, K. Smaïn, a été jugé et condamné pour ses propos diffamatoires sur ma personne par le tribunal de Béchar (Jugement n° 3703/04 daté du 27/11/2004). Il a été condamné à verser 5 000 DA à titre d?amende et à me verser, en tant que personne diffamée, un dinars symbolique, avec l?obligation de publier à ses propres frais le dispositif de ce jugement. Je me permets de vous confirmer mon intention de porter plainte une seconde fois contre M. Smaïn pour ses propos mensongers et diffamatoires ainsi que toute autre personne ayant contribué à cette démarche visant ma personne.
Posté Le : 12/03/2005
Posté par : sofiane
Ecrit par : B. Boualem
Source : www.elwatan.com