Algérie

DOPE POLITIQUEMENT PAR, ÇA PASSE OU ÇA CASSE



DOPE POLITIQUEMENT PAR, ÇA PASSE OU ÇA CASSE
Le candidat à la présidentielle d'avril 2014, Ali Benflis joue son va-tout, dopé politiquement par, ça passe ou ça casse, l'ex chef de gouvernement se déchaine contre le président Bouteflika, son rival principal, allant jusqu'à violer toutes les règles protocolaires au sein d'une maison sensée représenter la souveraineté de l'Etat algérien.Si vous touchez à mes voix vous allez avoir affaire à la rue, comme s'il tentait à dire entre les lignes, au président du conseil constitutionnel, je serais le seul et unique président de l'Algérie en avril 2014 où ça sera la guerre..! Une menace qui a été rejetée par la totalité du peuple qui suivit son intervention devant la télévision, et qui a aussi changé l'itinéraire du candidat à la présidentielle, Benhamou. Ce dernier qui a confirmé son non retrait, par le manque de respect de Benflis au peuple algérien et à son Président. Le changement, maintenant... ou jamais, c'est la nouvelle option de l'ex patron du FLN, Ali Benflis, qui veut gouverner de force, comme si le peuple est dupe. Un candidat, qui a dirigé la justice algérienne, trois fois en tant que ministre de la justice, prit des gants pour parler de justice alors que 38 millions d'algériens en face de la télévision suivent avec étonnement son offense au président du Conseil constitutionnel ainsi que ses messages de menaces, qui ont provoqués chez certains un climat de peur et d'inquiétudes. Par une voix colérique, Ali Benflis accuse l'administration algérienne de l'intérieur du plus haut conseil de l'Etat « le Conseil constitutionnel » d'avoir détourné les voix du peuple au profit d'un autre candidat en faisant allusion à Bouteflika, « mon dossier et mes formulaires de signatures sont hallal ...et je ne me retirerais pas », injure Benflis. Toujours de l'intérieur de l'enceinte du Conseil constitutionnel, le candidat Ali Benflis, lance une deuxième menace contre le pouvoir, dans l'idée moi ou la rue, il tente de mettre dans la tête du président du conseil, que Ali Benflis de 2004 n'est pas celui de 2014, car cette fois ?ci il est prêt à faire appel à son armée de facebookeurs et ses militants pour occuper la rue à l'image des rassemblements de l'ex-FIS. Par ses termes, il dit : « je refuse que la voix du citoyen soit « spoliée, volée, ou confisquée ». « Dans le cas où j'appelle le citoyen « à protéger sa voix et son choix souverain, et à ne pas céder au chantage et à la peur ». Avant d'ajouter, « que le 17 avril peut constituer la solution et l'issue de la crise mais, si ce virage est raté, la présidentielle pourrait être source d'aggravation de la crise », termine sa plaidoirie l'ancien bâtonnier Ali Benflis. Le candidat malheureux à la présidentielle de 2004, Ali Benflis, qui s'est pris un joli 6% avant de s'hiberner dans une neige politique pour une dizaine d'années, il revient en 2014 avec une allure d'un vieillard de 70 ans, avec des cheveux gris qui témoignent sur les archives de son long passé dans la sphère du pouvoir pour changer une Algérie qu'il n'a pas pu changer durant sa jeunesse triomphante au c?ur des gouvernements algériens de 1995 à 2004 . Pris par une naïveté outrée, où, il croit que le peuple algérien est naïf, il se lance dans une bataille électorale, tentant de forger sa campagne présidentielle par la protection des indications démocrates, en recrutant pour sa guerre féroce contre son rival Bouteflika une armée de Facebookeurs , comme il l'a fait entendre à l'opinion publique lors de ses interventions devant la presse.




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