En marge du 43e Congrès médical maghrébin, son président a évoqué la question des dons d'organes en expliquant qu'il y avait une avancée avec les discussions qui ont eu lieu notamment avec les religieux et au niveau de l'APN. Les représentants des instances religieuses habilités ont, semble-t-il, été convaincus de la nécessité d'aller vers des dons d'organes sur donneur cadavérique et de les autoriser dorénavant. Des fetwas ont été lancées et les dons d'organes à partir de donneurs vivants ne sont plus suffisants et n'ont jamais été suffisants pour régler la question des milliers de patients en attente de greffe. Allant plus loin, le professeur Boubekeur dit qu'aujourd'hui en Algérie, la question est celle de l'organisation du prélèvement des organes et des donneurs vivants où ceux dont la mort cérébrale est confirmée et d'aller surtout vers des registres de dons d'organes. Registres, dira-t-il, qui peuvent même être à l'échelle du Maghreb, donnant en exemple ce qui se fait en Europe depuis des années et qui ne devrait pas poser des problèmes.D. L.NomAdresse email
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Posté Le : 18/05/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : D LOUKIL
Source : www.liberte-algerie.com