Algérie

Djallal ne sévira plus



Le tribunal criminel de Dar el-Beïda a tranché, avant-hier, sur le crime crapuleuxqui avait secoué la commune d'El-Biar le mois écoulé.Verdict : perpétuité pour B.Le tribunal criminel de Dar el-Beïda a tranché, avant-hier, sur le crime crapuleuxqui avait secoué la commune d'El-Biar le mois écoulé.Verdict : perpétuité pour B.
Djallal-Eddine. Un repris de justice qui n'a eu decesse d'empoisonner la vie et la quiétudedes habitants de cette commune perchéesur les hauteurs de la capitale. Ce dernieravait assassiné le 29 septembre dernier,son meilleur ami, B. Yazid alorsqu'ils étaient tout deux sous l'effet dedrogues et d'alcool.Genèse d'un crime crapuleux?C'est dans la nuit du 29 septembre, dans un coin sombre du boulevard Bougara,dans la commune d'El-Biar, que tout àbasculé. Ainsi, la soirée arrosée où semêlaient drogues diverses et alcoolsemblaitpourtant bien se passer. D'autant que Djallal-Eddine et Yazid étaient desamis de longue date. Pourtant, l'effet desdrogues ont subitement pris le dessus.
Crescendo, le ton monte suite à un banaldifférend sur le cran d'arrêt de Djallal-Eddine. En effet, B. Yazid l'accuse de lelui avoir volé. Une altercation suit quimet les deux amis dans un état de rageextrême et incontrôlée. Djallal-Eddineprend alors son cran d'arrêt et le plantedans le thorax, puis à plusieurs reprisesdans le cou de Yazid. Le reporter chargédes affaires juridiques d'Ennahar, dansson compte rendu, publié lundi 29 octobre,évoque la violence de ce crime à traversle rapport du médecin légiste del'hôpital Beni-Messous. Ce dernier notedans son expertise que Yazid a reçu 5coups de couteau à divers endroits ducorps dont 3 mortels. Particulièrement lecoup porté au cou qui lui a provoqué unehémorragie interne et externe. L'expertsouligne que l
Djallal-Eddine. Un repris de justice qui n'a eu decesse d'empoisonner la vie et la quiétudedes habitants de cette commune perchéesur les hauteurs de la capitale. Ce dernieravait assassiné le 29 septembre dernier,son meilleur ami, B. Yazid alorsqu'ils étaient tout deux sous l'effet dedrogues et d'alcool.Genèse d'un crime crapuleux?C'est dans la nuit du 29 septembre, dans un coin sombre du boulevard Bougara,dans la commune d'El-Biar, que tout àbasculé. Ainsi, la soirée arrosée où semêlaient drogues diverses et alcoolsemblaitpourtant bien se passer. D'autant que Djallal-Eddine et Yazid étaient desamis de longue date. Pourtant, l'effet desdrogues ont subitement pris le dessus.
Crescendo, le ton monte suite à un banaldifférend sur le cran d'arrêt de Djallal-Eddine. En effet, B. Yazid l'accuse de lelui avoir volé. Une altercation suit quimet les deux amis dans un état de rageextrême et incontrôlée. Djallal-Eddineprend alors son cran d'arrêt et le plantedans le thorax, puis à plusieurs reprisesdans le cou de Yazid. Le reporter chargédes affaires juridiques d'Ennahar, dansson compte rendu, publié lundi 29 octobre,évoque la violence de ce crime à traversle rapport du médecin légiste del'hôpital Beni-Messous. Ce dernier notedans son expertise que Yazid a reçu 5coups de couteau à divers endroits ducorps dont 3 mortels. Particulièrement lecoup porté au cou qui lui a provoqué unehémorragie interne et externe. L'expertsouligne que l


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