Algérie

DISSOLUTION DU CORPS QU'AURAIT DECIDEE BOUTEFLIKA Prudence chez les gardes communaux



«Chat échaudé craint l'eau froide». Les gardes communaux semblent faire leur cette maxime consacrée en se montrant extrêmement «réservés» et «prudents» quant à la dissolution du corps que le président de la République aurait décidée.
M. Kebci - Alger (Le Soir) - «Le camp de toile» des gardes communaux érigé en bordure de l'autoroute Alger-Blida, juste en face de l'aéroport militaire de Boufarik, connaît, ces dernières heures, une activité bien particulière. En effet, ils sont de plus en plus nombreux, les agents, à se joindre à leurs collègues sur le site depuis l'empêchement en cet endroit de leur seconde marche sur Alger, il y a une dizaine de jours de cela. Ils avoisinaient jusqu'à la journée d'hier les 15 000 gardes communaux dont certains, ceux de Blida et d'Alger notamment, bénéficient de la compagnie diurne de leurs familles. Et il est attendu que leur nombre aille crescendo au fil des tout prochains jours pour atteindre les 60 000 personnes. Soit le seuil retenu par la coordination nationale de la corporation en vue de la toute prochaine étape. C'est ce qu'affirmera Lahlou Aliouat, l'un des coordinateurs nationaux du corps à partir de Bouira où il était dans la matinée d'hier du sit-in devant le siège de la wilaya organisé pour dénoncer la suspension des salaires des gardes communaux. Notre interlocuteur qui, soit dit en passant, dira avoir eu la promesse du chef de cabinet du wali qui l'a reçu en compagnie de certains de ses collègues, de régler cette question des salaires bloqués, ne manquera pas d'évoquer à l'occasion le «nouvel» élément intervenu ce dimanche. Soit la décision prêtée au premier magistrat du pays de dissoudre le corps de la garde communale avec les instructions données, dans ce sens, au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales d'activer dans le sens de concrétiser cette mesure avec tout ce qu'elle suggère comme droits à concéder aux gardes communaux. «Nous avons l'expérience requise face à ce genre d'informations non confirmées ni infirmées qui ont tout l'air d'un ballon de sonde», tonnera Aliouat qui dira ignorer «tout de cette histoire de dissolution». Ceci avant qu'il n'aille au fin fond de sa pensée pour exprimer toute sa crainte que cette démarche «ne fait pas partie de l'intox car ladite information ne se base sur aucune source fiable». Mais il avouera comme, d'ailleurs, son collègue de la coordination nationale, Hakim Chouaib, que cette nouvelle donne devait d'être sérieusement débattue dans la soirée d'hier. Il niera, dans le même temps, tout contact d'avec une quelconque autorité. Et d'avertir qu'«il n'est pas question de nous faire berner car nous voulons du concret, rien que du concret», avant de préciser qu'il n'est plus question pour les gardes communaux de collaborer avec le département d'Ould Kablia puisque, précisera- t-il, «notre seul interlocuteur est désormais le président de la République».


CHOUF HADA EL IBADS LORS DES PREMIERS RECRUTEMENTS CES GENTS PAS TOUS UN GRAND NOMBRE D ENTRE EUX PAYE LEUR RECRUTEMENT ILS DONNE ERACHOUA BACH IDKHOULOU FI ECHAANBITAATS. ET MAINTENANT IL FOUTES LA PAGAILLE KHALOUNA . DAYRINE EROUAHKOUMS WATANY YNES RANA EN CHOUFOU ....YA HIA DAHOU OULD KHABLIA..SIGNE ENAILI
BEN EL BLAD - AGRICULTEUR - HASSI BAHBAH, Algérie

30/07/2012 - 37031

Commentaires

Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)