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DIGOUTAGE

Par Arris TouffanAngela Merkel a dû passer la plus mauvaise nuit de ses mandats. Dimanche, Syriza, le parti de la «gauche radicale» (c'est ainsi qu'on appelle aujourd'hui la gauche qui reste à gauche), a raflé la majorité des sièges au Parlement grec. Qui plus est, dans son immense mansuétude, la Banque centrale européenne a annoncé la décision de racheter la dette privée et publique à partir de mars 2015. Deux coups contre l'austérité prènée par Merkel qui semblait, une fois n'est pas coutume, bien isolée dans son donjon.Mais le plus déstabilisant pour le Capital qui règne en maître absolu, c'est que cette victoire montre que c'est possible dans d'autres pays. Un espoir pour l'Europe, livrée aux rapaces. L'autre disait «Yes, we can». Syriza l'a fait !




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