Azul Felawenn, la souffrance couvert de soie, sons les regréé qui sommeil dans notre inconscience, cette chose mystérieuse qui nos pousse parfois être se que en dois être,
ÔM merci pour cette réflexion qui comme un nuancier de lumière,
mais il y a toujours ce vieux esprit qui me perturbe Me torture, à chaque fois que seuil d’in teindre mon âme pour faire de lui mon cœur,
Il surgi don ma conscience il fait de moi un vieux voter, comme ce texte qui sui le quelle exprime ma de leurs
Dieu je suis née, diable je meure moi, le génie je ne suis qu’un rameur
A travers le temps, le mystère demeure l'ignorant que je suis je me germe une faveur
Que je cultive à ce jour comme une parure me donnant le droit d'une option à toute mon erreur
Fière de mes mots, je dessine ma voix sur le chemin du mensonge j'abrège les lois
Je ne cherche poins a savoir pourquoi diable que je maudit ce n'est peut être que moi
Le bouffon de mon génie occulte le droit dieu de la raison à croire que c'est moi,
Ace jour je chéris la haine comme une valeurs d’une justice pour ma création
D’une question qui n'est pas une option à laquelle la repense n’est pas la résurrection
Me comprendre est un poins d’interrogation au quel j’ose même pas me pose la question
J’admis que je suis que un hublot dans une mère a jeté sur le quel reflète une lumière
D’un raillons dressé vers le ciel au la nuit faste me jure me condamne pour ma carrière
Comme un fout je cherche une paille dans un ta des aiguilles de la souffrance reste que une prière
Posté Le : 13/10/2018
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : mokrane ait lounes