Algérie

Deux jeunes filles en «niqab» arrêtées avec des ceintures bourrées de kif



Deux jeunes filles en «niqab» arrêtées avec des ceintures bourrées de kif
Coup de filet des gendarmes à Sidi Bel-Abbès. En effet, deux jeunes filles, respectivement âgées de 25 et 35 ans ont été appréhendées dans un taxi interwilaya.
Coup de filet des gendarmes à Sidi Bel-Abbès. En effet, deux jeunes filles, respectivement âgées de 25 et 35 ans ont été appréhendées dans un taxi interwilaya.
Les deux femmes étaient en possession de 20 kg de cannabis. Les deux jeunes filles portaient des niqabs (voile intégral) et se faisaient passer pour des femmes enceintes, tout en projetant de se rendre à Oran, là où la drogue devait être vendue à des clients. Originaires de la ville de Tébessa, les deux convoyeuses de cannabis ont été localisées par les gendarmes de la section de recherche appuyés par les pelotons d'autoroutes de Sidi Boussidi et ce sur la R N reliant Bel Abbès à Tlemcen. En effet, une femme gendarme a localisé les deux jeunes filles, suite à des doutes sur le comportement de celles-ci. Sur ce point là, il est intéressant de souligner une chose : les deux jeunes filles, qui portaient des niqabs, simulaient d'être enceintes afin d'écarter les soupçons des gendarmes. Toutefois, la vigilance de la gendarme de la Section de recherche appuyée par les pelotons d'autoroutes lui ont permis de localiser les deux jeunes filles. Comment cela s'est-il passé ' La femme gendarme s'est adressée aux deux filles, en leur demandant de descendre du taxi, avant qu'elle ne demande à l'une d'elles sa pièce d'identité. Mais au même moment la fille au niqab a cru que la gendarme avait décelé la ceinture qu'elle portait, alors elle lui a tout dévoilée tout en dénonçant son acolyte. « Vous savez, on tombe parfois sur des criminels qui ne savent même pas comment gérer les face-à-face. Alors ils commencent à se troubler et finissent par tout raconter », explique le lieutenant Chergui, chef des pelotons d'autoroutes de Sidi Bel-Abbès. L'une des deux jeunes filles portait 14 kg et l'autre 6 kg, dissimulées sous formes de ceintures. Les deux femmes ont été emmenées vers la brigade territoriale de la GN. Les convoyeuses de drogue vont tout dévoiler dans le cadre d'une investigation. Elles habitent à Tébessa et se procuraient le kif à Tlemcen pour le transporter dans des ceintures vers Oran et parfois vers Tébessa pour l'écouler. L'enquête de la Gendarmerie nationale a permis, également, de découvrir que ce n'est pas la première fois que les deux jeunes filles faisaient une telle navette ; elles ont déjà acheminées plusieurs quantités toujours selon le même mode opératoire. Lors des perquisitions aux domiciles des trafiquantes, les gendarmes ont découvert des maisons luxueuses. Ce qui prouve qu'elles ont du investir durant de longues périodes dans le trafic de drogue. Des villas luxueuses très bien équipées grâce à l'argent sale. Mariée et mère de trois enfants de 4, 6 et 14 ans, l'une des mises en cause, âgée de 25 ans, a avoué que son mari est également un trafiquant de drogue recherché par les services de sécurité. Placée sous mandat de dépôt, à l'instar de sa complice, cette femme a vu son foyer s'effondrer en l'espace d'un convoyage prison ferme alors que ses trois enfants seront confiés à l'assistance sociale.
Les deux femmes étaient en possession de 20 kg de cannabis. Les deux jeunes filles portaient des niqabs (voile intégral) et se faisaient passer pour des femmes enceintes, tout en projetant de se rendre à Oran, là où la drogue devait être vendue à des clients. Originaires de la ville de Tébessa, les deux convoyeuses de cannabis ont été localisées par les gendarmes de la section de recherche appuyés par les pelotons d'autoroutes de Sidi Boussidi et ce sur la R N reliant Bel Abbès à Tlemcen. En effet, une femme gendarme a localisé les deux jeunes filles, suite à des doutes sur le comportement de celles-ci. Sur ce point là, il est intéressant de souligner une chose : les deux jeunes filles, qui portaient des niqabs, simulaient d'être enceintes afin d'écarter les soupçons des gendarmes. Toutefois, la vigilance de la gendarme de la Section de recherche appuyée par les pelotons d'autoroutes lui ont permis de localiser les deux jeunes filles. Comment cela s'est-il passé ' La femme gendarme s'est adressée aux deux filles, en leur demandant de descendre du taxi, avant qu'elle ne demande à l'une d'elles sa pièce d'identité. Mais au même moment la fille au niqab a cru que la gendarme avait décelé la ceinture qu'elle portait, alors elle lui a tout dévoilée tout en dénonçant son acolyte. « Vous savez, on tombe parfois sur des criminels qui ne savent même pas comment gérer les face-à-face. Alors ils commencent à se troubler et finissent par tout raconter », explique le lieutenant Chergui, chef des pelotons d'autoroutes de Sidi Bel-Abbès. L'une des deux jeunes filles portait 14 kg et l'autre 6 kg, dissimulées sous formes de ceintures. Les deux femmes ont été emmenées vers la brigade territoriale de la GN. Les convoyeuses de drogue vont tout dévoiler dans le cadre d'une investigation. Elles habitent à Tébessa et se procuraient le kif à Tlemcen pour le transporter dans des ceintures vers Oran et parfois vers Tébessa pour l'écouler. L'enquête de la Gendarmerie nationale a permis, également, de découvrir que ce n'est pas la première fois que les deux jeunes filles faisaient une telle navette ; elles ont déjà acheminées plusieurs quantités toujours selon le même mode opératoire. Lors des perquisitions aux domiciles des trafiquantes, les gendarmes ont découvert des maisons luxueuses. Ce qui prouve qu'elles ont du investir durant de longues périodes dans le trafic de drogue. Des villas luxueuses très bien équipées grâce à l'argent sale. Mariée et mère de trois enfants de 4, 6 et 14 ans, l'une des mises en cause, âgée de 25 ans, a avoué que son mari est également un trafiquant de drogue recherché par les services de sécurité. Placée sous mandat de dépôt, à l'instar de sa complice, cette femme a vu son foyer s'effondrer en l'espace d'un convoyage prison ferme alors que ses trois enfants seront confiés à l'assistance sociale.




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