Deux connaissances d'Amedy Coulibaly déférées devant un juge

Plus de deux mois après les attentats de Paris, qui ont fait 17 morts, l'enquête se poursuit. Deux membres de l'entourage d'Amedy Coulibaly, l'auteur de la prise d'otages de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, à Paris, le 9 janvier, en garde à vue depuis lundi, ont été déférés vendredi, pour être présentés à un juge, a-ton appris de source judiciaire.Plus de deux mois après les attentats de Paris, qui ont fait 17 morts, l'enquête se poursuit. Deux membres de l'entourage d'Amedy Coulibaly, l'auteur de la prise d'otages de l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, à Paris, le 9 janvier, en garde à vue depuis lundi, ont été déférés vendredi, pour être présentés à un juge, a-ton appris de source judiciaire.Le troisième homme qui était en garde à vue a été relâché dans la nuit de jeudi à vendredi, sans poursuite à ce stade de l'enquête. Selon le parquet, une trace ADN de l'un des gardés à vue a été identifiée sur une arme utilisée par Amedy Coulibaly.L'un des deux hommes déférés est Amar R., le compagnon d'une gendarme qui avait également été entendue, mais dont la garde à vue avait été levée mercredi. Actuellement écroué dans un dossier de droit commun, il devait être présenté à un juge d'instruction dans la matinée, a indiqué son conseil, Régis Méliodon. La piste des soutiens logistiques dont a pu bénéficier Amedy Coulibaly a déjà permis aux enquêteurs d'arrêter fin janvier quatre hommes parmi ses connaissances. Ce sont les seules personnes mises en examen jusqu'à présent dans l'enquête sur les attentats de janvier, dont les trois auteurs sont morts.Le troisième homme qui était en garde à vue a été relâché dans la nuit de jeudi à vendredi, sans poursuite à ce stade de l'enquête. Selon le parquet, une trace ADN de l'un des gardés à vue a été identifiée sur une arme utilisée par Amedy Coulibaly.L'un des deux hommes déférés est Amar R., le compagnon d'une gendarme qui avait également été entendue, mais dont la garde à vue avait été levée mercredi. Actuellement écroué dans un dossier de droit commun, il devait être présenté à un juge d'instruction dans la matinée, a indiqué son conseil, Régis Méliodon. La piste des soutiens logistiques dont a pu bénéficier Amedy Coulibaly a déjà permis aux enquêteurs d'arrêter fin janvier quatre hommes parmi ses connaissances. Ce sont les seules personnes mises en examen jusqu'à présent dans l'enquête sur les attentats de janvier, dont les trois auteurs sont morts.