Lorsqu'Essaïd Belkalem a quitté son village natal de Djemaâ Saharidj, là-haut perché sur les monts de Mekla, pour débarquer en septembre 2006 au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou, son rêve était de revêtir le fameux maillot vert et jaune de la Jeunesse sportive de Kabylie, le club phare de la Kabylie si cher aux Imazighen.
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Posté Le : 24/06/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Mohamed Haouchine
Source : www.liberte-algerie.com