Algérie

Des sujets diffusés sur Facebook



Les sujets "qui circulent sur les réseaux sociaux ont été diffusés dix minutes après le début de l'examen du BEM", a affirmé hier, NourianBenghabrit, ministre del'éducation nationale depuis Laghouat où elle a donné le coup d'envoi officiel des épreuves du BEM.Les sujets "qui circulent sur les réseaux sociaux ont été diffusés dix minutes après le début de l'examen du BEM", a affirmé hier, NourianBenghabrit, ministre del'éducation nationale depuis Laghouat où elle a donné le coup d'envoi officiel des épreuves du BEM.
Ces dernières années, "cette pratique a sensiblement diminué et se résume àquelques cas de figures isolés qu'onne peut pas qualifier de fuite", a-t-elle assuré même si elle reconnait à demi-motl'incapacité de ses services à endiguer complètement ce problème.
Les sujets de langue arabe ont été diffusésquelques minutes à peine après le début del'examen, par des candidats qui cherchent des solutions. Une situation qui laisse supposer que des téléphones portables circuleraient dans les classes d'examen, malgré les mesures visant à les bannir."La diffusion des sujets sur Facebook estun phénomène qui nous interpelle", aajouté Mme Benghabrit qui assure avoirpris toutes les dispositions pour éviter lesfuites comme ce fut le cas dans les annéesprécédentes.
"Des experts sont à piedd'oeuvre dans les différentes wilayas dupays pour prendre les dispositions nécessaires en vue d'enclencher des enquêtesapprofondies sur d'éventuelles fuites", a-telle affirmé. Ces pratiques ont pour objectif de "compromettre le bon déroulement des examens et de donner de faux espoirs aux élèves à travers la diffusion de faux sujets qui n'ont rien à voir avec les sujets officiels", selon la ministre. La première responsable du secteur met engarde les candidats au BEM et au baccalauréatcontre ces pratiques qui, dit-elle, "ne font que réduire leurs chances de réussite à des examens aussi décisifs pour leur avenir".
Le BEM sous haute surveillance
Le ministère appelle les candidats à rejoindre les salles d'examen, au moins une demi-heure avant le début des épreuves. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mobilisé 12.000 agents pour la sécurisation des épreuves du brevet d'enseignement moyen (BEM), qui ont débuté hier et s'étaleront durant trois jours. L'Office national des examens et concours de Kouba à Alger (Onec), de même que l'Office régional de Batna, seront soumis à la surveillance par le biais du Centre de commandement et de contrôle CCC) à travers la mobilisation de 32 caméras pour les besoins de surveillance des salles deconservation des sujets des épreuves.
Aussi, l'activité du Service central de lutte contre les crimes liés aux technologies de l'information et de la communication (TIC) sera réactivée à cet effet.Des brouilleurs seront mis à la disposition du ministère de l'Education nationale pour évitertoute fraude dans les épreuves. Le commandement général de la Gendarmerie nationale (GN) a mis en place un dispositif sécuritaire spécial pour sécuriser le déroulement des examens de fin de l'année scolaire 2018 (primaire, moyen etsecondaire), en coordination avec le ministère de l'Education nationale, et ce à travers la sécurisation des centres d'examens et leurs alentours, qui se situent dans le territoire de compétence de la gendarmerie nationale, l'escorte et la protection de l'opération de distribution des sujets d'examens, à partir des directions de l'éducation à destination des centres d'examens.
Ce plan consiste aussi à garantir la protection et l'escorte des sujets d'examens transportés par avion au profit des centres d'examens qui se trouvent dans les régions du sud et le grand-sud, la sécurisation et le transport des feuilles de réponses à partir des centres des examens aux directions de l'éducation et des directions de l'éducationaux centres de correction. La DGSN a également mis en place un dispositif opérationnel spécial qui verra lamobilisation de 40.000 agents d'intervention, 2.111 ambulances et 1.363 camions anti-incendie, pour veiller à la sécurité des candidats et des encadreurs lors des épreuves nationales.
Aucun projet d'annulation du BEM
Il n'y a aucune intention ni orientation vers une annulation des examens nationaux tels que le BEM, comme rapporté par des médias, a affirmé hier la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit. Mme Benghabrit qui a donné depuis le CEM El-Moussalaha au quartier El-Wiam à Laghouat, le coup d'envoi officiel des épreuves du BEM, a indiqué à l'issue de l'ouverture des plis des sujets de langue arabe, qu'"il n'y a aucune intention ni orientation vers une annulation des examens nationaux tels que le BEM, comme rapporté par des médias", précisant à ce propos que "la question n'a été qu'évoquée lors de débats en commissions pédagogiques sur l'évaluation scolaire et qu'il n'est nullement question d'annulation".
La wilaya de Laghouat compte 10.555 candidats pour cet examen, dont 9.641 filles,en plus de candidats du centre de formation à distance et de l'établissement de rééducation, répartis sur 40 centres d'examen. Un centre de correction a été installé au niveau lycée El-Moukawama Echaâbia et un centre de collecte au lycée du 1er-Novembre".
A l'échelle nationale, ce sont 595.865 candidats, en hausse de 5,9 % par rapport à l'an dernier (566.221 candidats), qui sontconcernés par cet examen qui s'étalera sur trois jours à travers 2.324 centres d'examen et dont les résultats seront affichés le18 juin prochain, selon le ministère de l'Education nationale.
Les élèves ayant obtenu une moyenneégale ou supérieure à 10/20 accèderont enclasse de première année secondaire. Seront également admis en classe supérieure les élèves ayant eu une moyenne de 10/20 en comptant les résultats de cetexamen ainsi que la moyenne de l'évaluationcontinue durant l'année scolaire. La ministre de l'Education nationale, qui est accompagnée d'une délégation de parlementaires et de partenaires sociaux, doit par la suite inspecter, lancer et inaugurerd e sprojets d'établissements éducatifs au cheflieu de la wilaya.
Ces dernières années, "cette pratique a sensiblement diminué et se résume àquelques cas de figures isolés qu'onne peut pas qualifier de fuite", a-t-elle assuré même si elle reconnait à demi-motl'incapacité de ses services à endiguer complètement ce problème.
Les sujets de langue arabe ont été diffusésquelques minutes à peine après le début del'examen, par des candidats qui cherchent des solutions. Une situation qui laisse supposer que des téléphones portables circuleraient dans les classes d'examen, malgré les mesures visant à les bannir."La diffusion des sujets sur Facebook estun phénomène qui nous interpelle", aajouté Mme Benghabrit qui assure avoirpris toutes les dispositions pour éviter lesfuites comme ce fut le cas dans les annéesprécédentes.
"Des experts sont à piedd'oeuvre dans les différentes wilayas dupays pour prendre les dispositions nécessaires en vue d'enclencher des enquêtesapprofondies sur d'éventuelles fuites", a-telle affirmé. Ces pratiques ont pour objectif de "compromettre le bon déroulement des examens et de donner de faux espoirs aux élèves à travers la diffusion de faux sujets qui n'ont rien à voir avec les sujets officiels", selon la ministre. La première responsable du secteur met engarde les candidats au BEM et au baccalauréatcontre ces pratiques qui, dit-elle, "ne font que réduire leurs chances de réussite à des examens aussi décisifs pour leur avenir".
Le BEM sous haute surveillance
Le ministère appelle les candidats à rejoindre les salles d'examen, au moins une demi-heure avant le début des épreuves. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mobilisé 12.000 agents pour la sécurisation des épreuves du brevet d'enseignement moyen (BEM), qui ont débuté hier et s'étaleront durant trois jours. L'Office national des examens et concours de Kouba à Alger (Onec), de même que l'Office régional de Batna, seront soumis à la surveillance par le biais du Centre de commandement et de contrôle CCC) à travers la mobilisation de 32 caméras pour les besoins de surveillance des salles deconservation des sujets des épreuves.
Aussi, l'activité du Service central de lutte contre les crimes liés aux technologies de l'information et de la communication (TIC) sera réactivée à cet effet.Des brouilleurs seront mis à la disposition du ministère de l'Education nationale pour évitertoute fraude dans les épreuves. Le commandement général de la Gendarmerie nationale (GN) a mis en place un dispositif sécuritaire spécial pour sécuriser le déroulement des examens de fin de l'année scolaire 2018 (primaire, moyen etsecondaire), en coordination avec le ministère de l'Education nationale, et ce à travers la sécurisation des centres d'examens et leurs alentours, qui se situent dans le territoire de compétence de la gendarmerie nationale, l'escorte et la protection de l'opération de distribution des sujets d'examens, à partir des directions de l'éducation à destination des centres d'examens.
Ce plan consiste aussi à garantir la protection et l'escorte des sujets d'examens transportés par avion au profit des centres d'examens qui se trouvent dans les régions du sud et le grand-sud, la sécurisation et le transport des feuilles de réponses à partir des centres des examens aux directions de l'éducation et des directions de l'éducationaux centres de correction. La DGSN a également mis en place un dispositif opérationnel spécial qui verra lamobilisation de 40.000 agents d'intervention, 2.111 ambulances et 1.363 camions anti-incendie, pour veiller à la sécurité des candidats et des encadreurs lors des épreuves nationales.
Aucun projet d'annulation du BEM
Il n'y a aucune intention ni orientation vers une annulation des examens nationaux tels que le BEM, comme rapporté par des médias, a affirmé hier la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit. Mme Benghabrit qui a donné depuis le CEM El-Moussalaha au quartier El-Wiam à Laghouat, le coup d'envoi officiel des épreuves du BEM, a indiqué à l'issue de l'ouverture des plis des sujets de langue arabe, qu'"il n'y a aucune intention ni orientation vers une annulation des examens nationaux tels que le BEM, comme rapporté par des médias", précisant à ce propos que "la question n'a été qu'évoquée lors de débats en commissions pédagogiques sur l'évaluation scolaire et qu'il n'est nullement question d'annulation".
La wilaya de Laghouat compte 10.555 candidats pour cet examen, dont 9.641 filles,en plus de candidats du centre de formation à distance et de l'établissement de rééducation, répartis sur 40 centres d'examen. Un centre de correction a été installé au niveau lycée El-Moukawama Echaâbia et un centre de collecte au lycée du 1er-Novembre".
A l'échelle nationale, ce sont 595.865 candidats, en hausse de 5,9 % par rapport à l'an dernier (566.221 candidats), qui sontconcernés par cet examen qui s'étalera sur trois jours à travers 2.324 centres d'examen et dont les résultats seront affichés le18 juin prochain, selon le ministère de l'Education nationale.
Les élèves ayant obtenu une moyenneégale ou supérieure à 10/20 accèderont enclasse de première année secondaire. Seront également admis en classe supérieure les élèves ayant eu une moyenne de 10/20 en comptant les résultats de cetexamen ainsi que la moyenne de l'évaluationcontinue durant l'année scolaire. La ministre de l'Education nationale, qui est accompagnée d'une délégation de parlementaires et de partenaires sociaux, doit par la suite inspecter, lancer et inaugurerd e sprojets d'établissements éducatifs au cheflieu de la wilaya.


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