Algérie

Des radicaux menacent d'égorger des étudiantes Tunisie, port du niqab



Un groupe d'islamistes radicaux a fait une violente irruption mercredi dans la faculté de lettres de Sousse, à 150 km de Tunis, pour tenter d'imposer l'inscription d'étudiantes portant le niqab, a rapporté jeudi la radio Jawhara FM rapporte l'agence AP.
Le doyen de l'établissement, Moncef Ben Abdeljelil, a déclaré que "quatre (islamistes) munis de bombes à gaz, d'épées et de couteaux (avaient) pénétré dans l'enceinte de la faculté en menaçant de l'égorger. Ayant constaté que le bureau du doyen était fermé, ils se seraient dirigés vers celui du secrétaire général, semant la panique parmi les étudiants, a relaté M. Ben Andfeljelil, ajoutant qu'"aprèsdes palabres", les fauteurs de troubles avaient quitté la faculté sans intervention des forces de l'ordre.
Selon le doyen, ces incidents sont survenus après qu'il a refusé l'inscription à la faculté mardi à deux étudiantes portant le niqab, un voile recouvrant tout le corps sauf les yeux. Les deux jeunes femmes auraient "fini par comprendre qu'il n'était pas logique de suivre des cours dans cette tenue" mais une autre étudiante serait revenue à la charge, accompagnée de "deux barbus pour tenter de s'inscrire par la force".
"Nous n'avons rien contre les convictions religieuses des gens mais l'enseignement universitaire ades règles civiles qu'il importe de respecter pour assurer le cours normal des études", a fait valoir le doyen.
Un groupe d'islamistes radicaux a fait une violente irruption mercredi dans la faculté de lettres de Sousse, à 150 km de Tunis, pour tenter d'imposer l'inscription d'étudiantes portant le niqab, a rapporté jeudi la radio Jawhara FM rapporte l'agence AP.
Le doyen de l'établissement, Moncef Ben Abdeljelil, a déclaré que "quatre (islamistes) munis de bombes à gaz, d'épées et de couteaux (avaient) pénétré dans l'enceinte de la faculté en menaçant de l'égorger. Ayant constaté que le bureau du doyen était fermé, ils se seraient dirigés vers celui du secrétaire général, semant la panique parmi les étudiants, a relaté M. Ben Andfeljelil, ajoutant qu'"aprèsdes palabres", les fauteurs de troubles avaient quitté la faculté sans intervention des forces de l'ordre.
Selon le doyen, ces incidents sont survenus après qu'il a refusé l'inscription à la faculté mardi à deux étudiantes portant le niqab, un voile recouvrant tout le corps sauf les yeux. Les deux jeunes femmes auraient "fini par comprendre qu'il n'était pas logique de suivre des cours dans cette tenue" mais une autre étudiante serait revenue à la charge, accompagnée de "deux barbus pour tenter de s'inscrire par la force".
"Nous n'avons rien contre les convictions religieuses des gens mais l'enseignement universitaire ades règles civiles qu'il importe de respecter pour assurer le cours normal des études", a fait valoir le doyen.


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