C'est peut-être le plus joli cadeau qu'a dû recevoir cette commune située pourtant au milieu des plus riches vergers de la Mitidja, mais qui commence à peine à sortir d'une longue hibernation imposée par divers facteurs, que ces projets très importants et que vient d'ailleurs d'inspecter le wali de Blida, M. Hocine Ouadah. En effet, ce sont au total 17 projets en cours de réalisation pour une enveloppe totale de près de 50 milliards de centimes répartis entre les divers secteurs vitaux pour la région. Bien entendu, celui de l'éducation a eu la part du lion avec un peu plus de 10 milliards de centimes qui serviront à la réalisation de trois salles de classe en extension, 3 cantines scolaires de 200 repas chacun et de la réhabilitation de deux écoles. Tous ces établissements sont situés en zone rurale très pauvre et apporteront un plus certain aux élèves tant du point de vue du nombre d'élèves par classe que de celui de la restauration, car la plupart des enfants scolarisés habitent à des kilomètres de leur école, en plein vergers, dans les anciennes fermes coloniales. L'autre secteur, non moins vital, est celui de l'eau potable et qui a reçu une enveloppe de 25 milliards pour la réalisation et la réhabilitation d'un réseau d'AEP de 12 km de long. Pour le désenclavement des zones rurales, la wilaya a d'un côté engagé des travaux pour l'aménagement de routes au niveau de 3 cités pour un montant de 3 milliards de centimes, et inscrit l'entretien et la réhabilitation d'environ 7 km de rues à travers la ville sur son propre budget. Â Â Â Â Â Â Les autres projets inscrits ont trait à la réalisation d'un stade de proximité d'une bibliothèque communale, d'une maison de Jeunes, de 80 locaux professionnels et d'une unité lègère de la Protection civile. A voir la nature de tous ces projets, il est loisible de constater que la commune de Chebli vivait à l'écart de toute civilisation. D'ailleurs, quand nous apprenons que le seul lycée de cette commune n'a ouvert ses portes qu'en octobre 2007, nous comprendrons encore plus les difficultés qu'ont dûes rencontrer les centaines d'enfants de Chebli qui, pour poursuivre leurs études secondaires, étaient obligés de se déplacer vers Boufarik à 7 km de Chebli, distance à laquelle il faut rajouter celle séparant leurs lieux de résidence de la ville, et qui atteint pour certains près de 8 km de pistes souvent parcourues à pied. En outre, la détérioration du pont qui enjambait l'Oued El-Harrach pour se rendre à Sidi Moussa et Bougara à partir de Chebli, a grandement concouru à l'isolement de Chebli. Même le transport n'existait que vers Boufarik, avec quelques microbus tombant en ruines pour Birtouta. Chercher du travail près de chez eux est impensable pour les habitants qui devaient se rendre à Boufarik ou Blida, quand ce n'est pas jusqu'à Alger pour trouver du travail, souvent mal payé et pour lequel il faut laisser la moitié du salaire en transport et déjeuner. Mais ces hommes courageux qui ont tenu tête à tous ceux qui voulaient les faire fuir de chez eux durant les années de braise, qui ont encore lutté et luttent toujours dans un dénuement total, ont confiance en l'avenir et veulent relever le défi de faire sortir leur petit village de l'étranglement dans lequel il végète depuis l'indépendance. Les autorités locales, et à leur tête le wali, leur ont promis aide et assistance. Alors, verrons-nous enfin Chebli renaître de ses cendres ?
absolument chebli jadis etait une communne des plus riches d'algerie elle nourissait le peuple algerien grace a ses exportations agricoles ses agrumes se vendaient au prix fort sur les marches de bruxelles marseille ou hambourg pendant la campagne de cueillette des oranges qui dure 06 mois les gens venaient de toute l'agerie cherche du travail il existe a chebli une banque le credit lyonnais un laboratoire de la vigne ex ferme richter qui employait jusqu'a 1000 ouvriers- une unite de jasmins qui employait 200-une usine de textile avec plus de 250 travailleurs aussi aujour d'hui tout a disparu au moment fort du regime socialiste les domaines autogeres ( bien vacant) recevaient des invites de marque les presidents des repupliques des pays amis accompagne du defunt president houari boumedienne depuis la mort de ce dernier aucun responsable de haut niveau ne s'est interesse a l'agrculture de cette region elle fut tout simplement completement oubliee par les autoritees en sport elle etait le berceau du cyclisme algerien avec la creation de la premiere ecole cycliste par le defunt abdelkader zaaf ex tours de france et bien sous son sobriquet casseur de baraque plusieurs journalistes europeens venaient a chebli pour lui faire des intervews
pour info la commune de chebli fut cree en 1854 par decret imperial et elle avait comme annexe birtouta
badache mohamed - retraite - chebli
29/12/2008 - 2438
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Posté Le : 09/02/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : T M
Source : www.lequotidien-oran.com