Tout le monde aime le miel, et plus encore les apiculteurs pour qui, contrairement aux abeilles, ne sont pas toujours de bons ouvriers. Ils manquent de formation, rechignent à mettre la main à la poche pour soigner les insectes qui travaillent pour eux et méconnaissent, par égoïsme, l'intérêt à se solidariser pour défendre leur activité. Pourtant, ils affrontent de multiples contraintes sur le terrain. Car si cela peut s'avérer une paisible occupation pour les occasionnels, c'est loin d'être une sinécure pour les professionnels. Conséquence, à Bejaïa, région apicole par excellence, la production de cet or liquide qu'est le miel est des plus faibles et les prix se mettent hors de portée des consommateurs qui, d'ailleurs, le considèrent davantage comme un médicament que comme un produit alimentaire. Des potentialités, Bejaïa en dispose certainement pour développer l'apiculture. Les incitations pour s'y lancer ne manquent également pas et les agriculteurs de la région ne cachent pas leur engouement. L'activité, au regard de ces aspects, a un avenir certain si...
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Posté Le : 24/10/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : O M
Source : www.horizons-dz.com