Algérie

Des prétextes pour une ingérence



Des prétextes pour une ingérence
Amnesty international, Human Rights Watch et la Fédération internationale des droits de l'homme continuent de noircir le tableau des droits de l'homme en Algérie. Leurs rapports qui pointent du doigt la situation politique depuis ces dernières semaines cache en fait une arrière-pensée d'une ingérence systématique dans les affaires internes du pays.Amnesty international, Human Rights Watch et la Fédération internationale des droits de l'homme continuent de noircir le tableau des droits de l'homme en Algérie. Leurs rapports qui pointent du doigt la situation politique depuis ces dernières semaines cache en fait une arrière-pensée d'une ingérence systématique dans les affaires internes du pays.Ces ONG n'hésitent plus à tirer à boulets rouges sur l'Algérie en actionnant une propagande et une campagne de dénigrement à l'endroit des institutions. Après avoir mis en doute le système judicaire en octobre dernier, la Fédération internationale des droits de l'homme estime que « dans certains pays, comme en Algérie, ce harcèlement vise tant de défenseurs qu'il peut être incontestablement qualifié de systématique ». La FIDH ne réagit que pour des cas isolés lorsqu'un militant associatif est interpellé par les services de sécurité pour en faire une stigmatisation des droits de l'homme.L'organisation Human Rights Watch (HRW) surfe sur la vague de répression sur les associations et la liberté de l'expression en interpellant le Président algérien sur le respect des droits de l'homme. Selon cette ONG, il existe « des personnes qui sont détenues pour des délits de liberté d'expression », demandant à Alger de libérer le blogueur Abdelghani Aloui, en prison depuis le 15 septembre, pour avoir critiqué une nouvelle candidature du Président aux élections de 2014 et partagé des photos et des caricatures de Bouteflika sur sa page Facebook.Cependant hormis ce cas dont le procès se déroulera incessamment, il n'existe selon les services du ministère de la Justice « aucune personne détenue pour motif politique ». Bien que le cas Aloui suscite l'indignation des défenseurs de droits de l'homme, le tribunal d'Alger a procédé à l'inculpation de ce dernier sur la base de délits et non pour avoir critiqué le Président.Mais le plus grave de ces accusations lorsque certaines de ces ONG continuent à insinuer dans leurs rapports que « l'Algérie possède des prisons secrètes » et des « camps d'internement » alors que sur ce point précis, aucune preuve formelle n'a abouti à ces conclusions. HRW la menace par le biais d'Eric Goldstein, directeur Afrique du Nord/Moyen-Orient :« Si l'Algérie veut un siège au Conseil des droits de l'Homme, elle doit montrer sa préoccupation pour les droits de ses propres syndicalistes. Les Algériens doivent pouvoir s'exprimer librement et manifester ou exprimer leurs opinions ».Pourtant, l'Algérie vient d'obtenir son siège à la commission onusienne des droits de l'homme sur la base de constats sur l'amélioration des droits de l'homme globalement. Le point positif enregistré depuis la levée d'état d'urgence, c'est que « les menaces sur les libertés individuelles ou collectives sont moindres par rapport aux années de terreur des années 1990 ». De plus, l'Algérie a ratifié toutes les conventions relatives aux droits de l'homme, même celle concernant les disparitions forcées.Ces ONG n'hésitent plus à tirer à boulets rouges sur l'Algérie en actionnant une propagande et une campagne de dénigrement à l'endroit des institutions. Après avoir mis en doute le système judicaire en octobre dernier, la Fédération internationale des droits de l'homme estime que « dans certains pays, comme en Algérie, ce harcèlement vise tant de défenseurs qu'il peut être incontestablement qualifié de systématique ». La FIDH ne réagit que pour des cas isolés lorsqu'un militant associatif est interpellé par les services de sécurité pour en faire une stigmatisation des droits de l'homme.L'organisation Human Rights Watch (HRW) surfe sur la vague de répression sur les associations et la liberté de l'expression en interpellant le Président algérien sur le respect des droits de l'homme. Selon cette ONG, il existe « des personnes qui sont détenues pour des délits de liberté d'expression », demandant à Alger de libérer le blogueur Abdelghani Aloui, en prison depuis le 15 septembre, pour avoir critiqué une nouvelle candidature du Président aux élections de 2014 et partagé des photos et des caricatures de Bouteflika sur sa page Facebook.Cependant hormis ce cas dont le procès se déroulera incessamment, il n'existe selon les services du ministère de la Justice « aucune personne détenue pour motif politique ». Bien que le cas Aloui suscite l'indignation des défenseurs de droits de l'homme, le tribunal d'Alger a procédé à l'inculpation de ce dernier sur la base de délits et non pour avoir critiqué le Président.Mais le plus grave de ces accusations lorsque certaines de ces ONG continuent à insinuer dans leurs rapports que « l'Algérie possède des prisons secrètes » et des « camps d'internement » alors que sur ce point précis, aucune preuve formelle n'a abouti à ces conclusions. HRW la menace par le biais d'Eric Goldstein, directeur Afrique du Nord/Moyen-Orient :« Si l'Algérie veut un siège au Conseil des droits de l'Homme, elle doit montrer sa préoccupation pour les droits de ses propres syndicalistes. Les Algériens doivent pouvoir s'exprimer librement et manifester ou exprimer leurs opinions ».Pourtant, l'Algérie vient d'obtenir son siège à la commission onusienne des droits de l'homme sur la base de constats sur l'amélioration des droits de l'homme globalement. Le point positif enregistré depuis la levée d'état d'urgence, c'est que « les menaces sur les libertés individuelles ou collectives sont moindres par rapport aux années de terreur des années 1990 ». De plus, l'Algérie a ratifié toutes les conventions relatives aux droits de l'homme, même celle concernant les disparitions forcées.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)