Des mouvements extrémistes étrangers en cause

Les violences qui ont secoué dernièrement Ghardaïa n'ont rien à voir avec la religion ou les écoles malékite ou ibadite, a affirmé, jeudi dernier, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah. « Ce sont des personnes engagées par des mouvements extrémistes, les même qui activent en Tunisie, en Syrie et en Egypte, qui sont derrière ces événements. Les pouvoirs publics et les conseils des sages se concertent pour assurer la sécurité et l'éducation aux jeunes », a-t-il précisé lors de la session à l'APN consacrée aux questions orales.