Algérie

Des milliers de manifestants malgré la répression policière


Des milliers de manifestants pro- Palestiniens se sont rassemblés samedi 15 mai à Paris, malgré l'interdiction. Les premiers manifestants se sont réunis à Barbès à 15h. Encerclés par les forces de l'ordre, ils ont été immédiatement dispersés avec un canon à eau.Des milliers de manifestants pro- Palestiniens se sont rassemblés samedi 15 mai à Paris, malgré l'interdiction. Les premiers manifestants se sont réunis à Barbès à 15h. Encerclés par les forces de l'ordre, ils ont été immédiatement dispersés avec un canon à eau.
Selon la préfecture de police de Paris, 4.200 policiers et gendarmes sont mobilisés. Ils ont pour consigne la "dispersion immédiate" dès que des manifestants tentent de se regrouper. L'interdiction de manifester dans la capitale a été prise le 13 mai au soir par le préfet de police de Paris, Didier Lallement, à la demande du ministre de l'Intérieur, GéraldDarmanin pour des "risques de troubles". A été mis en avant le précédent de 2014, lorsqu'une manifestation pro-palestinienne à Paris avait dégénéré en violences urbaines. Saisi en référé-liberté par l'Association des Palestiniens en Île-de-France, le tribunal administratif a confirmé cette interdiction. Des manifestations similaires ont eu lieu dans d'autres villes françaises. 22.000 personnes se sont rassemblés samedi en France lors de manifestations pro-Palestine, selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur. À Nancy, la manifestation en soutien au peuple palestinien mobilise un millier de personnes, selon le journal L'Est Républicain. À l'appel d'une vingtaine d'associations, environ 1.000 personnes ont manifesté, samedi après-midi, place Maginot puis en cortège en ville Malgré l'interdiction de manifester, des dizaines de personnes se sont réunies à Nice pour soutenir la cause des Palestiniens. À Strasbourg, 4.000 personnes manifestent sans incident pour soutenir les Palestiniens, selon la police et les organisateurs. Le cortège est parti de la Place de l'Université et les manifestants ont défilé dans les rues longeant le centreville, sans toutefois entrer dans l'hypercentre de la capitale alsacienne, interdit à toute manifestation depuis plusieurs mois.
À Lille, plusieurs centaines de personnes ont participé au rassemblement pro-palestinien. "Halte au massacre en Palestine","Boycott Israël", "Gaza se meurt", scandaient les manifestants, rassemblés sur la Grand'Place à l'appel de l'association France-Palestine, en plein coeur de la ville. Des militants d'organisations de gauche (Solidaires, Attac, CGT, LFI, NPA et PCF) ont également participé à cette action. Environ 200 personnes se sont réunies place de Jaude, à Clermont- Ferrand, en soutien au peuple palestinien, selon France Bleu Auvergne. Elle est organisée par l'association France Palestine 63, sous le slogan "Israël assassin, Macron complice". Plusieurs centaines de personnes, drapeaux palestiniens, voire parapluie des mêmes couleurs - à la main, se sont rassemblées sous la pluie à Toulouse pour dire leur opposition au "colonialisme, au racisme et à l'apartheid".
"Sauvez Gaza", "Personne n'est libre quand d'autres sont opprimés" ou "Palestinian lives matter" (les vies des Palestiniens comptent), pouvaiton lire sur des pancartes. Cela intervient alors que les avions de combat du régime sioniste poursuivent leurs raids contre la bande de Ghaza pour la sixième journée consécutive et visent les installations civiles de l'enclave palestinienne. Selon les dernières statistiques du ministère de la Santé de Ghaza, le nombre de martyrs palestiniens a atteint 139, dont des dizaines d'enfants et de femmes.
Selon la préfecture de police de Paris, 4.200 policiers et gendarmes sont mobilisés. Ils ont pour consigne la "dispersion immédiate" dès que des manifestants tentent de se regrouper. L'interdiction de manifester dans la capitale a été prise le 13 mai au soir par le préfet de police de Paris, Didier Lallement, à la demande du ministre de l'Intérieur, GéraldDarmanin pour des "risques de troubles". A été mis en avant le précédent de 2014, lorsqu'une manifestation pro-palestinienne à Paris avait dégénéré en violences urbaines. Saisi en référé-liberté par l'Association des Palestiniens en Île-de-France, le tribunal administratif a confirmé cette interdiction. Des manifestations similaires ont eu lieu dans d'autres villes françaises. 22.000 personnes se sont rassemblés samedi en France lors de manifestations pro-Palestine, selon les chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur. À Nancy, la manifestation en soutien au peuple palestinien mobilise un millier de personnes, selon le journal L'Est Républicain. À l'appel d'une vingtaine d'associations, environ 1.000 personnes ont manifesté, samedi après-midi, place Maginot puis en cortège en ville Malgré l'interdiction de manifester, des dizaines de personnes se sont réunies à Nice pour soutenir la cause des Palestiniens. À Strasbourg, 4.000 personnes manifestent sans incident pour soutenir les Palestiniens, selon la police et les organisateurs. Le cortège est parti de la Place de l'Université et les manifestants ont défilé dans les rues longeant le centreville, sans toutefois entrer dans l'hypercentre de la capitale alsacienne, interdit à toute manifestation depuis plusieurs mois.
À Lille, plusieurs centaines de personnes ont participé au rassemblement pro-palestinien. "Halte au massacre en Palestine","Boycott Israël", "Gaza se meurt", scandaient les manifestants, rassemblés sur la Grand'Place à l'appel de l'association France-Palestine, en plein coeur de la ville. Des militants d'organisations de gauche (Solidaires, Attac, CGT, LFI, NPA et PCF) ont également participé à cette action. Environ 200 personnes se sont réunies place de Jaude, à Clermont- Ferrand, en soutien au peuple palestinien, selon France Bleu Auvergne. Elle est organisée par l'association France Palestine 63, sous le slogan "Israël assassin, Macron complice". Plusieurs centaines de personnes, drapeaux palestiniens, voire parapluie des mêmes couleurs - à la main, se sont rassemblées sous la pluie à Toulouse pour dire leur opposition au "colonialisme, au racisme et à l'apartheid".
"Sauvez Gaza", "Personne n'est libre quand d'autres sont opprimés" ou "Palestinian lives matter" (les vies des Palestiniens comptent), pouvaiton lire sur des pancartes. Cela intervient alors que les avions de combat du régime sioniste poursuivent leurs raids contre la bande de Ghaza pour la sixième journée consécutive et visent les installations civiles de l'enclave palestinienne. Selon les dernières statistiques du ministère de la Santé de Ghaza, le nombre de martyrs palestiniens a atteint 139, dont des dizaines d'enfants et de femmes.
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