Des mesures plus sévères s'imposent

Les dernières mesures prises par la ligue nationale de football après les violences qui ont secoué le stade 5 juillet lors du match de la coupe entre les deux Usmistes d'Alger et d'El Harrach ne semblent pas régler le problème de la violence dans nos stades. Samedi les joueurs de l'USM Alger ont vécu une situation cauchemardesque à Saida à l'occasion de la 25e journée du championnat national de ligue. Plusieurs joueurs ont été agressés à l'arme blanche et évacués d'urgence à l'hôpital. La violence dans nos stades prend de plus en plus de l'ampleur. Quelques jours après les événements désolants du stade 5 juillet à Alger, la ville de Saida a vécu un scénario pareil à l'occasion du match du championnat de ligue 1 entre l'équipe locale, MC Saida et l'USM Alger. Au moins sept joueurs de l'équipe visiteuse ont été poignardés et plusieurs autres blessés et transférés en urgence à l'hôpital de Saida. Certes, la pression s'accentue de plus en plus chez les supporters car les enjeux sont de tailles, mais ce n'est pas une raison pour arriver à un drame évité de justesse. Le déplacement de l'équipe algéroise à Saida n'était pas du tout repos à l'occasion de ce rendez-vous à grand enjeu. Menacé par la relégation, le MC Saida était visiblement prêt a tout faire pour éviter une défaite qui compliquera davantage sa situation, mais cela doit se faire sur le terrain. Ce n'est qu'un match de foot les gars. Tout à été commence à quelques minutes du coup d'envoi de la rencontre. Le bus de l'équipe visiteuse a été bloqué à l'entrée et les journalistes des différents organes ont été interdits d'accès au stade. Il a fallu plusieurs interventions pour que l'équipe puisse accéder au stade. La partie s'était arrêtée à maintes reprises. L'arbitre a ajouté dix minutes du temps additionnel, à la 8e place Ouznadji égalise pour son équipe, et c'est l'enfer ! Les supporters envahissent le terrain. Ceux qui ont essayé de joindre les vestiaires sont pris au piège, ils se font lynchés. Les joueurs ne savent plus à quel saint se vouer. Sans revenir par ailleurs sur ces scènes qui n'ont jamais été vécues lors d'un match du championnat algérien, la sonnette d'alarme a été tirée. Les responsables du football algérien doivent prendre des mesures très sévères pour éviter de vivre des scénarios plus graves dans l'avenir.
Les dernières mesures prises par la ligue nationale de football après les violences qui ont secoué le stade 5 juillet lors du match de la coupe entre les deux Usmistes d'Alger et d'El Harrach ne semblent pas régler le problème de la violence dans nos stades. Samedi les joueurs de l'USM Alger ont vécu une situation cauchemardesque à Saida à l'occasion de la 25e journée du championnat national de ligue. Plusieurs joueurs ont été agressés à l'arme blanche et évacués d'urgence à l'hôpital. La violence dans nos stades prend de plus en plus de l'ampleur. Quelques jours après les événements désolants du stade 5 juillet à Alger, la ville de Saida a vécu un scénario pareil à l'occasion du match du championnat de ligue 1 entre l'équipe locale, MC Saida et l'USM Alger. Au moins sept joueurs de l'équipe visiteuse ont été poignardés et plusieurs autres blessés et transférés en urgence à l'hôpital de Saida. Certes, la pression s'accentue de plus en plus chez les supporters car les enjeux sont de tailles, mais ce n'est pas une raison pour arriver à un drame évité de justesse. Le déplacement de l'équipe algéroise à Saida n'était pas du tout repos à l'occasion de ce rendez-vous à grand enjeu. Menacé par la relégation, le MC Saida était visiblement prêt a tout faire pour éviter une défaite qui compliquera davantage sa situation, mais cela doit se faire sur le terrain. Ce n'est qu'un match de foot les gars. Tout à été commence à quelques minutes du coup d'envoi de la rencontre. Le bus de l'équipe visiteuse a été bloqué à l'entrée et les journalistes des différents organes ont été interdits d'accès au stade. Il a fallu plusieurs interventions pour que l'équipe puisse accéder au stade. La partie s'était arrêtée à maintes reprises. L'arbitre a ajouté dix minutes du temps additionnel, à la 8e place Ouznadji égalise pour son équipe, et c'est l'enfer ! Les supporters envahissent le terrain. Ceux qui ont essayé de joindre les vestiaires sont pris au piège, ils se font lynchés. Les joueurs ne savent plus à quel saint se vouer. Sans revenir par ailleurs sur ces scènes qui n'ont jamais été vécues lors d'un match du championnat algérien, la sonnette d'alarme a été tirée. Les responsables du football algérien doivent prendre des mesures très sévères pour éviter de vivre des scénarios plus graves dans l'avenir.