Algérie

Des magistrats français revendiquent d'enlever le caractère « secret » sur l'affaire de la mort d'Antoine De Léocour et de Vincent Delory L'Armée Nigérienne s'est accrochée avec des terroristes et saisie des quantités d'armes


Des magistrats français revendiquent d'enlever le caractère « secret » sur l'affaire de la mort d'Antoine De Léocour et de Vincent Delory                                    L'Armée Nigérienne s'est accrochée avec des terroristes et saisie des quantités d'armes
Des juges d'instruction français ont demandé, hier, au ministère de la défense français de lever le caractère « secret » sur des photos, prises le mois de janvier en cours, au lendemain de la tentative de libération de deux otages français enlevées au Niger, supposées être assassinées par erreur par les forces aériennes françaises qui tentaient de les libérer.
Un militaire nigérien et quatre autres ont été blessés dans un accrochage entre des éléments armés au Nord du Niger, a annoncé mardi soir le ministère de la défense Nigérien, dans un communiqué. Le ministère en question a ajouté que les forces armées nigérianes se sont accroché, dimanche dernier, avec un convoi d'individus bourrés d'armes à bord de véhicules, venant d'un pays voisin. L'accrochage entre les deux parties s'est soldé par un mort et quatre blessés dans les rangs des forces nigérianes. L'armée nigérienne a fait subir aux terroristes de lourdes pertes et a retenu en otages certains parmi eux, qui n'ont pas encore été identifiés. Elle a indiqué avoir détecté dans le lieu de l'accrochage des armes kalachnikovs et des missiles RPG7 et des véhicules.
Dans le même sillage, des magistrats de la section d'investigation près le ministère de la défense français ont appelé à lever le caractère « secret » sur des photos prises en janvier de l'année en cours, au lendemain de la tentative de libération des otages Antoine De Léocour et Vincent Delory, qui sont deux ressortissants français kidnappés à Niamey, capitale du Niger, afin de prouver l'hypothèse qu'ils ont été tués par erreur par les missiles tirées par des avions français, dans une tentative de les libérer.
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