Algérie

Des limites... aux acquis à renforcer



Des limites... aux acquis à renforcer
Quelles sont ces limites et qui les tracent ' Pour certains, il y a « des limites à ne pas dépasser », sans pour autant les définir. D'autres, sont plus explicites. Ils leur donnent une coloration qui exprime la menace, voire le danger : le rouge ! Il pèse un danger sur le pays si on franchit les lignes rouges que d'aucuns définissent à l'aune de leur perception des « limites ».Quelles sont ces limites et qui les tracent ' Pour certains, il y a « des limites à ne pas dépasser », sans pour autant les définir. D'autres, sont plus explicites. Ils leur donnent une coloration qui exprime la menace, voire le danger : le rouge ! Il pèse un danger sur le pays si on franchit les lignes rouges que d'aucuns définissent à l'aune de leur perception des « limites ».Ce qui est vérité pour les uns, ne l'est pas pour les autres. Question de positionnement sur le sujet. La prochaine élection présidentielle, qui doit se tenir le 17 avril prochain, « emballe » la classe politique et ses acteurs et même des personnalités, civiles ou militaires à la « retraite » depuis un certain temps. Y a-t-il le feu dans la demeure 'Il est vrai que depuis les attaques virulentes du secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, on assiste à un positionnement de diverses parties par rapport à un 4e mandat du chef de l'Etat et du rôle de l'ANP, particulièrement d'un de ses services « sensibles » le DRS et son implication dans les affaires politiques. Des questions brûlantes qui surviennent à quelques encablures de cette échéance politique majeure qui focalise toutes les attentions.C'est que cette élection présidentielle survient dans un contexte politique national et géostratégique inédit. Un président sortant, probable successeur à lui-même, mais qui n'a pas fait encore connaître ses intentions. Des remous sociaux à ne plus en finir. Des grèves dans l'Education nationale qui perdurent et qui risquent d'étaler dans le temps la durée de la scolarité, le report des examens si ce n'est l'année blanche qui guette, si les syndicats et le ministère de tutelle ne trouvent pas un terrain d'entente. Une menace sur la stabilité du pays en ce sens que des « remous » imprévisibles peuvent survenir pour mettre un terme à cette situation.Des évènements dramatiques dans la vallée du M'zab qui ont fait s'affronter des communautés qui vivaient en parfaite harmonie depuis la nuit des temps. Des évènements douloureux et dangereux pour la stabilité de la région et qui ont fait réagir de nombreuses personnalités algériennes face à l'escalade des affrontements communautaires, appelant à « la paix et la concorde au M'zab ».Il est question aussi de stabilité dans toute la région du sud du pays avec l'avènement des groupes armés alliés aux narcotrafiquants et aux contrebandiers qui font commerce des armes et du crime organisé, pourvus en matériels de guerre par les dépôts de l'ex-armée libyenne. La stabilité de la région est tout aussi menacée par la fragilité des Etats frontaliers de l'Algérie qui sont en conflits internes depuis le « printemps » arabe et où des groupes armés sont fortement présents.La menace sur la stabilité du pays a-t-elle atteint un seuil critique au point où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, l'évoque d'une manière récurrente depuis la convocation du corps électoral par le président de la République '. Abdelmalek Sellal assure que son gouvernement cherche à la préserver quoi qu'il lui en coûte tout en prévenant qu'« il existe des lignes rouges à ne pas franchir et des acquis à ne pas remettre en cause car il y va de notre devenir et celui de nos enfants ».Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs, elle, est convaincue que des « man?uvres internes et extérieures » visant l'Etat-nation sont inscrites dans l'agenda de certaines parties, lesquelles seront mises en pratique au moment opportun.Dans ce cadre, elle a estimé que les tentatives de déstabilisation de l'ANP à travers notamment les attaques virulentes d'Amar Saïdani, secrétaire général du FLN participent de ce plan. Abdelmalek Sellal rassure, « nous n'accepterons jamais de revivre les années de violence et d'instabilité qu'a vécues le pays » dès lors que « nous ne réussirons jamais à construire le pays sans préserver son unité et sa stabilité », s'était-il écrié à Tissemsilt.Ce qui est vérité pour les uns, ne l'est pas pour les autres. Question de positionnement sur le sujet. La prochaine élection présidentielle, qui doit se tenir le 17 avril prochain, « emballe » la classe politique et ses acteurs et même des personnalités, civiles ou militaires à la « retraite » depuis un certain temps. Y a-t-il le feu dans la demeure 'Il est vrai que depuis les attaques virulentes du secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, on assiste à un positionnement de diverses parties par rapport à un 4e mandat du chef de l'Etat et du rôle de l'ANP, particulièrement d'un de ses services « sensibles » le DRS et son implication dans les affaires politiques. Des questions brûlantes qui surviennent à quelques encablures de cette échéance politique majeure qui focalise toutes les attentions.C'est que cette élection présidentielle survient dans un contexte politique national et géostratégique inédit. Un président sortant, probable successeur à lui-même, mais qui n'a pas fait encore connaître ses intentions. Des remous sociaux à ne plus en finir. Des grèves dans l'Education nationale qui perdurent et qui risquent d'étaler dans le temps la durée de la scolarité, le report des examens si ce n'est l'année blanche qui guette, si les syndicats et le ministère de tutelle ne trouvent pas un terrain d'entente. Une menace sur la stabilité du pays en ce sens que des « remous » imprévisibles peuvent survenir pour mettre un terme à cette situation.Des évènements dramatiques dans la vallée du M'zab qui ont fait s'affronter des communautés qui vivaient en parfaite harmonie depuis la nuit des temps. Des évènements douloureux et dangereux pour la stabilité de la région et qui ont fait réagir de nombreuses personnalités algériennes face à l'escalade des affrontements communautaires, appelant à « la paix et la concorde au M'zab ».Il est question aussi de stabilité dans toute la région du sud du pays avec l'avènement des groupes armés alliés aux narcotrafiquants et aux contrebandiers qui font commerce des armes et du crime organisé, pourvus en matériels de guerre par les dépôts de l'ex-armée libyenne. La stabilité de la région est tout aussi menacée par la fragilité des Etats frontaliers de l'Algérie qui sont en conflits internes depuis le « printemps » arabe et où des groupes armés sont fortement présents.La menace sur la stabilité du pays a-t-elle atteint un seuil critique au point où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, l'évoque d'une manière récurrente depuis la convocation du corps électoral par le président de la République '. Abdelmalek Sellal assure que son gouvernement cherche à la préserver quoi qu'il lui en coûte tout en prévenant qu'« il existe des lignes rouges à ne pas franchir et des acquis à ne pas remettre en cause car il y va de notre devenir et celui de nos enfants ».Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs, elle, est convaincue que des « man?uvres internes et extérieures » visant l'Etat-nation sont inscrites dans l'agenda de certaines parties, lesquelles seront mises en pratique au moment opportun.Dans ce cadre, elle a estimé que les tentatives de déstabilisation de l'ANP à travers notamment les attaques virulentes d'Amar Saïdani, secrétaire général du FLN participent de ce plan. Abdelmalek Sellal rassure, « nous n'accepterons jamais de revivre les années de violence et d'instabilité qu'a vécues le pays » dès lors que « nous ne réussirons jamais à construire le pays sans préserver son unité et sa stabilité », s'était-il écrié à Tissemsilt.




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