Des lendemains qui chantent ou qui déchantent '

Si nous aurons à savoir si la conviction se renforcera pour que s'installera un climat de sérénité tant au sein de toute la classe politique que de la société et dans les relations entre les populations et le pouvoir. Qui représentera le pouvoir ' Pour le moment, le ballon tourne dans les camps du candidat président et dans celui du candidat Benflis. Bien qu'il n'y a pas de sondage étape, les attentions en majorité sont fixées sur ces deux candidats. Ou l'un, ou l'autre, à moins que des raisons vont exister pour sauter électoralement la journée du 17 avril.On n'en sait rien sauf si des indices vont apparaître pour expliquer qu'il n'y aura pas de 17.Une étude serait en actualité. Elle consiste à savoir dans quel cas pourrait-on dire qu'il va y avoir des lendemains qui chantent et pour qui chanteraient-ils.La sérénité ' Le bonheur, demeurerait-il possible dans le cadre de la démarche actuelle ou bien, au contraire, que cette démarche n'est plus appropriée et qu'il resterait à imaginer une autre thérapie. Dans quel cas risquerons-nous de vivre une forme d'anarchie ' Dans quel cas donc nous serait-il impossible de tomber dans l'anarchie ' L'enjeu est trop important et susceptible d'être accompagné de violence, le pouvoir devant être conquis ou reconquis, car il se confond avec l'avoir. Avoir pour conquérir le pouvoir et pouvoir pour conquérir encore plus d'avoir ' C'est une boucle dont on ne sort plus.Qui pourrait bien nous dire avec certitude ce que seront les lendemains, quand la réflexion est menée dans des bureaux en vase clos loin des populations qui en sont pourtant les premières concernées. Nous sommes conviés par les tenants de la démarche à croire sur parole, et par les tenants du refus de celle-ci à douter également sur parole, c'est-à-dire à nous aligner sur les uns ou les autres, alors que le fait qu'ils s'opposent ainsi sans un débat réel peut être l'indice d'une absence de certitudes.