Algérie

Des journalistes dénoncent



Une cinquantaine de journalistes de plusieurs médias écrits et audiovisuels onttenu, hier samedi, un sit-in à la place de laLiberté de la presse.Une cinquantaine de journalistes de plusieurs médias écrits et audiovisuels onttenu, hier samedi, un sit-in à la place de laLiberté de la presse.
Il s'agissait pour euxde dénoncer vivement les agressions physiqueset verbales que subissent journalistes, reporters-photographes, caméramans et techniciens, particulièrement, lorsdes marches populaires. Les présents ontévoqué, à tour de rôle, de mauvaises expériences et mésaventures vécues dernièrement.Ils ont appelé ensuite au respect de laliberté de la presse et des journalistes quiexercent dans le respect des lois et seconforment aux principes de la déontologie. Ils ont également dénoncé les intimidationsdes forces de l'ordre à leur encontre.Présent au sit-in, le président du Conseilnational des journalistes autonomes(CNJA), Riadh Bouadcha, a estimé que saparticipation se veut un message fort en direction des instances concernées.
"Lemétier de journaliste est noble. Son exercicegaranti par la Constitution doit bénéficier d'un environnement favorable ou lasécurité est assurée", a-t-il rappelé . A ceteffet, il a exhorté les pouvoirs publics àfaire respecter les lois en vigueur afin de permettre aux professionnels de travailler dans la dignité et loin de toute pression.Déplorant l'absence d'un statut particulier du journaliste, il estimera impératif pour la corporation "d'engager un débat constructif,pour définir et recenser les contraintes rencontrées, trouver un consensus et rester solidaire pour avancer".Des rencontres entre journalistes sontd'ores et déjà prévues pour soulever lesdiverses attentes et doléances de la corporation.
Toufik Amrane, caméraman, a ensuitedénoncé l'atteinte à la liberté d'expressionet au droit du citoyen à l'information.S'agissant de la couverture médiatique desmanifestations populaires, Il proposera ,pour assurer la sécurité des journalistes, leport d'un brassard d'identification. Pour lui, "la presse constitue l'un des piliers d'unEtat de droit".
Il s'agissait pour euxde dénoncer vivement les agressions physiqueset verbales que subissent journalistes, reporters-photographes, caméramans et techniciens, particulièrement, lorsdes marches populaires. Les présents ontévoqué, à tour de rôle, de mauvaises expériences et mésaventures vécues dernièrement.Ils ont appelé ensuite au respect de laliberté de la presse et des journalistes quiexercent dans le respect des lois et seconforment aux principes de la déontologie. Ils ont également dénoncé les intimidationsdes forces de l'ordre à leur encontre.Présent au sit-in, le président du Conseilnational des journalistes autonomes(CNJA), Riadh Bouadcha, a estimé que saparticipation se veut un message fort en direction des instances concernées.
"Lemétier de journaliste est noble. Son exercicegaranti par la Constitution doit bénéficier d'un environnement favorable ou lasécurité est assurée", a-t-il rappelé . A ceteffet, il a exhorté les pouvoirs publics àfaire respecter les lois en vigueur afin de permettre aux professionnels de travailler dans la dignité et loin de toute pression.Déplorant l'absence d'un statut particulier du journaliste, il estimera impératif pour la corporation "d'engager un débat constructif,pour définir et recenser les contraintes rencontrées, trouver un consensus et rester solidaire pour avancer".Des rencontres entre journalistes sontd'ores et déjà prévues pour soulever lesdiverses attentes et doléances de la corporation.
Toufik Amrane, caméraman, a ensuitedénoncé l'atteinte à la liberté d'expressionet au droit du citoyen à l'information.S'agissant de la couverture médiatique desmanifestations populaires, Il proposera ,pour assurer la sécurité des journalistes, leport d'un brassard d'identification. Pour lui, "la presse constitue l'un des piliers d'unEtat de droit".


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