Des étudiants en sit-in devant le ministère de l'Energie

Plus d'une centaines d'étudiants de l'Institut national des hydrocarbures de Boumerdès ont organisé un sit-in hier, devant le siège du ministère de l'Energie et des Mines à Hydra.Plus d'une centaines d'étudiants de l'Institut national des hydrocarbures de Boumerdès ont organisé un sit-in hier, devant le siège du ministère de l'Energie et des Mines à Hydra.Selon l'un des étudiants, organisateur de ce rassemblement, une grève a été entamée depuis le 12 novembre dernier en vue de sensibiliser les responsables à leurs doléances, mais sans résultats. "Cela fait deux mois que toutes les promotions des étudiants en hydrocarbures de l'INH sont en arrêt de cours sans avoir de réponses à notre plateforme de revendications de la part des responsables" a déclaré notre interlocuteur. Par ailleurs, le même protestataire nous a fourni quelques détails au sujet de la plateforme de revendications qui, selon lui, est "simple"."Nous demandons ce qui nous revient de droit en étant des étudiants de spécialité (les hydrocarbures), c'est-à-dire le droit à l'emploi et cette grève est illimitée, si notre revendication n'est pas prise en considération par les responsables qui font la sourde oreille", s'est-il révolté, ajoutant que des concours sont organisés en catimini pour favoriser les candidatures des "pistonnés aux postes d'emploi concernant notre spécialité" souligne notre interlocuteur.Selon l'un des étudiants, organisateur de ce rassemblement, une grève a été entamée depuis le 12 novembre dernier en vue de sensibiliser les responsables à leurs doléances, mais sans résultats. "Cela fait deux mois que toutes les promotions des étudiants en hydrocarbures de l'INH sont en arrêt de cours sans avoir de réponses à notre plateforme de revendications de la part des responsables" a déclaré notre interlocuteur. Par ailleurs, le même protestataire nous a fourni quelques détails au sujet de la plateforme de revendications qui, selon lui, est "simple"."Nous demandons ce qui nous revient de droit en étant des étudiants de spécialité (les hydrocarbures), c'est-à-dire le droit à l'emploi et cette grève est illimitée, si notre revendication n'est pas prise en considération par les responsables qui font la sourde oreille", s'est-il révolté, ajoutant que des concours sont organisés en catimini pour favoriser les candidatures des "pistonnés aux postes d'emploi concernant notre spécialité" souligne notre interlocuteur.