Algérie

Des entreprises américaines séduites par le marché algérien



Des entreprises américaines séduites par le marché algérien
Des chefs d'entreprise américaines et africains ont fait part, mercredi dernier à New York, de l'intérêt qu'ils portent au marché algérien le qualifiant « d'attractif » et de « prometteur ». Lors d'une session du Sommet sur l'investissement en Afrique consacrée à l'Algérie, auquel a pris part le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, des patrons de firme ont émis le souhait de s'enquérir davantage du potentiel du marché algérien qu'ils ont qualifié « d'attractif » et de « prometteur ». En prenant la parole lors du débat sanctionnant le sommet, le directeur d'une entreprise américaine spécialisée dans les énergies renouvelables et la protection de l'environnement s'est dit « intéressé » de trouver un partenaire algérien lui permettant d'intégrer le marché national eu égard à l'important potentiel que recèle l'Algérie en matière de ressources naturelles. Un autre intervenant, manager d'une entreprise de fabrication d'équipements électroniques, a affiché un intérêt particulier au secteur industriel en Algérie qui, a-t-il dit, dispose d'atouts pour un développement appréciable. S'agissant des possibilités de nouer des partenariats dans diverses activités économiques, un participant a demandé des précisions sur les procédures pour la promotion de l'investissement privé étranger, se disant prêt à effectuer le déplacement en Algérie pour explorer les opportunités d'affaires. Les participants se sont dit impressionnés par la capacité de l'Algérie à « maintenir sa stabilité dans une région qui connaît de fortes turbulences ». Après avoir écouté ces intervenants, le ministre délégué a affirmé que le climat des affaires ne cesse de s'améliorer et que l'Algérie est considérée comme un pays présentant des opportunités réelles pour les investissements potentiels. Dans ce contexte, il a mis en relief les efforts « constants » et « persévérants » pour faciliter la création d'entreprises et leurs activités. Il a tenu, toutefois, à dissiper les appréhensions vis-à-vis de la règle dite « 51/49 » régissant l'investissement étranger en Algérie en affirmant que cette dernière n'entrave nullement les investissements en Algérie dont le montant a atteint les 4,5 milliards de dollars en 2013. Il a annoncé aux participants, au nombre d'une centaine, que le ministre de l'Industrie et des Mines organisera, les 26 et 28 octobre, des conférences-débats à Washington D.C. et Chicago sur les opportunités d'investissement en Algérie.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)