Des enseignants faussement promus

Des rapports ont dénoncé les récentes promotions d'enseignants à l'université en dénonçant les dépassements dans les attributions de grade.Des rapports ont dénoncé les récentes promotions d'enseignants à l'université en dénonçant les dépassements dans les attributions de grade.
Le ministère de l'Enseignement et de la Recherche scientifique va ouvrir une enquête en chargeant les recteurs de fournir des preuves.Selon une note du ministère del'Enseignement, l'enquête sera entamée prochainement pour déterminer les circonstances dans lesquelles ces promotions auraient été attribuées. Il s'agit des grades de professeurs, et d'enseignants-chercheurs. Selon les rapports émanant de la commission nationale universitaire chargée d'évaluer les enseignants "il y a plusieurs dossiers qui ne répondent pas aux critères fixés par le ministère de tutelle".
Parmi lesquels, il existe "l'absence de publications de recherches dans les revues scientifiques prestigieuses et l'activité pédagogique de certains enseignants qui n'est pas appréciable" selon son rendement ou sa contribution à l'université. Ces promotions qui ont été attribuées par "favoritisme ou coup de piston" ne répondent aucunement aux normes signalées dans la récente instruction du 29 mai dernier et dans laquelle "il est exigé de chaque dossier de promotion au grade de professeur ou enseignantchercheur un parcours clair et une activité pédagogique et une implication effective dans le domaine de la recherche par des articles dûment publiées dans les revues de renommée".
Constatant ces manquements, le ministère de l'Enseignement supérieur ne veut pas fermer les yeux sur ce scandale qui risque d'ébranler l'image de l'université algérienne déjà malmenée par ces mauvais classements à l'international. Le département de Bouzid Tayeb a exigé ainsi de "revoir les critères de promotions à ces grades et ne pas traiter ces affaires comme une promotion administrative". En effet, l'image d'un professeur émérite traduit une image respectable et vénérée au sein de la société civile qu'il ne faut pas rabaisser à une marchandise de troc.
Ces révisions devront concerner tous les dossiers "suspects" en veillant à appliquer rigoureusement les critères exigés. De plus, ces conclusions devront être remises à la commission nationale universitaire et dans lesquelles tous les recteurs et doyens doivent présenter leurs rapports. On note que ces accès à ces différents grades sont éligibles sur concours lorsque ces enseignants doivent évoluer au grade de professeurs des universités
Le ministère de l'Enseignement et de la Recherche scientifique va ouvrir une enquête en chargeant les recteurs de fournir des preuves.Selon une note du ministère del'Enseignement, l'enquête sera entamée prochainement pour déterminer les circonstances dans lesquelles ces promotions auraient été attribuées. Il s'agit des grades de professeurs, et d'enseignants-chercheurs. Selon les rapports émanant de la commission nationale universitaire chargée d'évaluer les enseignants "il y a plusieurs dossiers qui ne répondent pas aux critères fixés par le ministère de tutelle".
Parmi lesquels, il existe "l'absence de publications de recherches dans les revues scientifiques prestigieuses et l'activité pédagogique de certains enseignants qui n'est pas appréciable" selon son rendement ou sa contribution à l'université. Ces promotions qui ont été attribuées par "favoritisme ou coup de piston" ne répondent aucunement aux normes signalées dans la récente instruction du 29 mai dernier et dans laquelle "il est exigé de chaque dossier de promotion au grade de professeur ou enseignantchercheur un parcours clair et une activité pédagogique et une implication effective dans le domaine de la recherche par des articles dûment publiées dans les revues de renommée".
Constatant ces manquements, le ministère de l'Enseignement supérieur ne veut pas fermer les yeux sur ce scandale qui risque d'ébranler l'image de l'université algérienne déjà malmenée par ces mauvais classements à l'international. Le département de Bouzid Tayeb a exigé ainsi de "revoir les critères de promotions à ces grades et ne pas traiter ces affaires comme une promotion administrative". En effet, l'image d'un professeur émérite traduit une image respectable et vénérée au sein de la société civile qu'il ne faut pas rabaisser à une marchandise de troc.
Ces révisions devront concerner tous les dossiers "suspects" en veillant à appliquer rigoureusement les critères exigés. De plus, ces conclusions devront être remises à la commission nationale universitaire et dans lesquelles tous les recteurs et doyens doivent présenter leurs rapports. On note que ces accès à ces différents grades sont éligibles sur concours lorsque ces enseignants doivent évoluer au grade de professeurs des universités