Algérie

Des élèves sans écoles



Des élèves sans écoles
La rentrée scolaire est un événement important pour plusieurs personnes : enseignants, élèves et parents s'y préparent depuis déjà plusieurs jours, voire même quelques semaines.La rentrée scolaire est un événement important pour plusieurs personnes : enseignants, élèves et parents s'y préparent depuis déjà plusieurs jours, voire même quelques semaines.Afin de démarrer l'année du bon pied, après un moment de bonheur des familles, après l'acquisition de leurs logements, le cauchemar survient pour les nouveaux résidants des nouvelles cités fraîchement livrées sans aucun équipement public ni aménagement extérieur, et le hic est le déficit d'écoles pour scolariser les enfants.Il ne savent plus à quel saint se vouer, alors qu'il ne reste plus que le week-end pour la rentrée scolaire. A Khraïssia par exemple, un site de 1.200 logements n'a pas encore d'école et les parents sont inquiets. Ces deniers affirment qu'ils ont dépêché une délégation à la mairie dans l'espoir de trouver une solution à ce problème le plus vite possible. "On ne sait pas encore où nos enfants vont être scolarisés.Le rares écoles qui existent sont très éloignées", dira un des citoyens qui ajoute : "Ça fait un mois qu'on habite ici, il n'y a pas d'éclairage public et les coupures d'électricité sont très fréquente. On est vraiment perdu". Les habitants de ces cités ne disposent pas d'école primaire, ni de CEM et souvent il n'existe plus d'assiette pour construire ce genre d'infrastructures sur place, créant ainsi une pression supplémentaire sur les écoles des quartiers environnants et un besoin en nouveaux établissements.Face à cette situation, les parents, des administratifs d'établissements scolaires, des associations de parents d'élèves restent impuissants devant une situation inacceptable : le manque d'enseignants et de directeurs dans certains établissements scolaires, et cette fois-ci c'est le comble, des écoles qui en manquent.Cette pratique de la livraison de différents types de logements ne date pas d'aujourd'hui, et pourtant à travers plusieurs discours et déclarations, il semblait que l'on ait déjà décidé d'y mettre le holà à travers les différentes commissions installées. Mais hélas, ce n'est que de la théorie ! En restant toujours dans le même sillage autrement dit la théorie, les services concernés ont promis de prendre des dispositions pour être fin prêt pour le "J".Un défi et une course contre la montre et ce, pour permettre un bon déroulement de la rentrée en évitant des situations désastreuses. L'avenir nous le confirmera ! Il est en effet de coutume que des coopératives immobilières livrent des cités entières, censées être habitables, mais qui en réalité sont dépourvues du minimum :à savoir des routes praticables par exemple, ou des écoles. Ce genre de pratique est courant et n'épargne aucune région du pays. Après une longue attente et une galère qui n'en finit pas, les citoyens voient très souvent leur joie d'habiter dans des appartements neufs se transformer en grosse déception. A bon entendeur !Afin de démarrer l'année du bon pied, après un moment de bonheur des familles, après l'acquisition de leurs logements, le cauchemar survient pour les nouveaux résidants des nouvelles cités fraîchement livrées sans aucun équipement public ni aménagement extérieur, et le hic est le déficit d'écoles pour scolariser les enfants.Il ne savent plus à quel saint se vouer, alors qu'il ne reste plus que le week-end pour la rentrée scolaire. A Khraïssia par exemple, un site de 1.200 logements n'a pas encore d'école et les parents sont inquiets. Ces deniers affirment qu'ils ont dépêché une délégation à la mairie dans l'espoir de trouver une solution à ce problème le plus vite possible. "On ne sait pas encore où nos enfants vont être scolarisés.Le rares écoles qui existent sont très éloignées", dira un des citoyens qui ajoute : "Ça fait un mois qu'on habite ici, il n'y a pas d'éclairage public et les coupures d'électricité sont très fréquente. On est vraiment perdu". Les habitants de ces cités ne disposent pas d'école primaire, ni de CEM et souvent il n'existe plus d'assiette pour construire ce genre d'infrastructures sur place, créant ainsi une pression supplémentaire sur les écoles des quartiers environnants et un besoin en nouveaux établissements.Face à cette situation, les parents, des administratifs d'établissements scolaires, des associations de parents d'élèves restent impuissants devant une situation inacceptable : le manque d'enseignants et de directeurs dans certains établissements scolaires, et cette fois-ci c'est le comble, des écoles qui en manquent.Cette pratique de la livraison de différents types de logements ne date pas d'aujourd'hui, et pourtant à travers plusieurs discours et déclarations, il semblait que l'on ait déjà décidé d'y mettre le holà à travers les différentes commissions installées. Mais hélas, ce n'est que de la théorie ! En restant toujours dans le même sillage autrement dit la théorie, les services concernés ont promis de prendre des dispositions pour être fin prêt pour le "J".Un défi et une course contre la montre et ce, pour permettre un bon déroulement de la rentrée en évitant des situations désastreuses. L'avenir nous le confirmera ! Il est en effet de coutume que des coopératives immobilières livrent des cités entières, censées être habitables, mais qui en réalité sont dépourvues du minimum :à savoir des routes praticables par exemple, ou des écoles. Ce genre de pratique est courant et n'épargne aucune région du pays. Après une longue attente et une galère qui n'en finit pas, les citoyens voient très souvent leur joie d'habiter dans des appartements neufs se transformer en grosse déception. A bon entendeur !


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