Algérie

Des efforts russo-américains pour une solution acceptée



Des efforts russo-américains pour une solution acceptée
Les pourparlers de paix à Genève étaient difficiles entre le gouvernement syrien et l'opposition, qui campent, chacun de son côté, sur sa position, alors qu'un nouveau document leur a été soumis jeudi en vue d'un rapprochement de vues pour lancer réellement le processus de règlement de la crise.Les pourparlers de paix à Genève étaient difficiles entre le gouvernement syrien et l'opposition, qui campent, chacun de son côté, sur sa position, alors qu'un nouveau document leur a été soumis jeudi en vue d'un rapprochement de vues pour lancer réellement le processus de règlement de la crise.Ce nouveau développement intervient au moment où Washington et Moscou cherchent à impulser les discussions indirectes dont le dernier round s'est achevé aujourd'hui. Dans le cadre des efforts diplomatiques visant à trouver une issue à ce conflit, le secrétaire d'Etat américain John Kerry doit rencontrer jeudi à Moscou le président russe Vladimir Poutine pour évoquer avec lui la transition politique en Syrie.Décidée dans la foulée du retrait partiel des troupes russes de Syrie, annoncé le 14 mars par le présidentrusse, la visite de M. Kerry à Moscou vise à renforcer le dialogue avec la partie russe sur la Syrie et évoquer la crise en Ukraine. Ce jeudi, les pourparlers indirectes entre l'opposition et le gouvernement syrien, entamés il y a dix jours sous l'égide de l'Onu, se sont achevés jeudi alors que les regards se tournent vers Moscou, où Kerry doit discuter avec Poutine sur le point relatif au rôle de Bachar al-Assad dans le règlement de la crise.Bien que parrains du cessez-le-feu actuellement en vigueur en Syrie, les Etats-Unis et la Russie divergent sur la question du départ ou non du président al-Assad. Pour Washington, le départ du président syrien est une condition pour que les négociations de paix entre Damas et l'opposition, menées à Genève sous l'égide de l'émissaire de l'Onu Staffan de Mistura, aboutissent. Alors que pour la Russie, seul le peuple syrien a le droit de décider du sort de son président.L'émissaire de l'ONU, Staffan de Mistura, a souhaité recevoir "l'aide de Kerry et Lavrov" qui "ont prouvé dans le passé (...) que, lorsqu'ils partagent les mêmes vues, cela aide énormément le processus", a-t-il ajouté, en référence au cessezle- feu qui tient depuis fin février. La feuille de route fixée par l'Onu prévoit les pourparlers de Genève aboutissent à la mise en place dans les six mois d'un "organe de transition", censé élaborer une nouvelleConstitution et organiser des élections d'ici 18 mois. La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a rencontré mercredi à Genève les représentants du gouvernement syrien et de l'opposition pour les exhorter à faire la paix dans l'intérêt de leur pays et de l'Europe. Pour elle, mettre un terme au conflit syrien permettra alors de "se concentrer sur la lutte contre Daech", qui contrôle de larges pans du territoire irakien et syrien et qui a revendiqué les attentats de mardi en Belgique.Ce nouveau développement intervient au moment où Washington et Moscou cherchent à impulser les discussions indirectes dont le dernier round s'est achevé aujourd'hui. Dans le cadre des efforts diplomatiques visant à trouver une issue à ce conflit, le secrétaire d'Etat américain John Kerry doit rencontrer jeudi à Moscou le président russe Vladimir Poutine pour évoquer avec lui la transition politique en Syrie.Décidée dans la foulée du retrait partiel des troupes russes de Syrie, annoncé le 14 mars par le présidentrusse, la visite de M. Kerry à Moscou vise à renforcer le dialogue avec la partie russe sur la Syrie et évoquer la crise en Ukraine. Ce jeudi, les pourparlers indirectes entre l'opposition et le gouvernement syrien, entamés il y a dix jours sous l'égide de l'Onu, se sont achevés jeudi alors que les regards se tournent vers Moscou, où Kerry doit discuter avec Poutine sur le point relatif au rôle de Bachar al-Assad dans le règlement de la crise.Bien que parrains du cessez-le-feu actuellement en vigueur en Syrie, les Etats-Unis et la Russie divergent sur la question du départ ou non du président al-Assad. Pour Washington, le départ du président syrien est une condition pour que les négociations de paix entre Damas et l'opposition, menées à Genève sous l'égide de l'émissaire de l'Onu Staffan de Mistura, aboutissent. Alors que pour la Russie, seul le peuple syrien a le droit de décider du sort de son président.L'émissaire de l'ONU, Staffan de Mistura, a souhaité recevoir "l'aide de Kerry et Lavrov" qui "ont prouvé dans le passé (...) que, lorsqu'ils partagent les mêmes vues, cela aide énormément le processus", a-t-il ajouté, en référence au cessezle- feu qui tient depuis fin février. La feuille de route fixée par l'Onu prévoit les pourparlers de Genève aboutissent à la mise en place dans les six mois d'un "organe de transition", censé élaborer une nouvelleConstitution et organiser des élections d'ici 18 mois. La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a rencontré mercredi à Genève les représentants du gouvernement syrien et de l'opposition pour les exhorter à faire la paix dans l'intérêt de leur pays et de l'Europe. Pour elle, mettre un terme au conflit syrien permettra alors de "se concentrer sur la lutte contre Daech", qui contrôle de larges pans du territoire irakien et syrien et qui a revendiqué les attentats de mardi en Belgique.




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