L'Algérie a intégré dans sa législation nationale, à travers un décret présidentiel, un instrument juridique en conformité avec le RSI adopté par l'ensemble des Etats membres de l'OMS.L'Algérie a intégré dans sa législation nationale, à travers un décret présidentiel, un instrument juridique en conformité avec le RSI adopté par l'ensemble des Etats membres de l'OMS.L' Algérie demeure engagée à assumer son rôle, national et régional, pour contribuer à l'effort de la communauté mondiale visant à endiguer les menaces sanitaires à potentiel épidémiologique, a indiqué, jeudi à Ghardaïa, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf.S'exprimant à l'ouverture de la rencontre sur la présentation du plan national de préparation, d'alerte et de riposte, en cas de menaces sanitaires à potentiel épidémique, le ministre a signalé que la prise de conscience de ces menaces a été intégrée dans la politique nationale de santé publique en tant que "priorité", conformément au règlement sanitaire international (RSI) mis en place par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).L'Algérie a intégré dans sa législation nationale, à travers un décret présidentiel, un instrument juridique en conformité avec le RSI adopté par l'ensemble des Etats membres de l'OMS, a-t-il fait savoir, en précisant, à ce propos, qu'un engagement politique, avec une assise juridique, constituent "un gage indiscutable pour la durabilité de notre lutte contre ces menaces". Des mesures appropriées à même de détecter rapidement et de riposter efficacement contre ces maladies ont été mises en place en Algérie, a-t-il encore révélé.Toutes les conditions ont été réunies pour s'insérer dans le RSI et l'Algérie vient de procéder à l'inscription au fonds des urgences d'un programme d'acquisition d'équipements et matériels requis pour la mise à niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières et d'un autre programme de renforcement du stock national de sécurité en moyens de protection, pour un montant de plus d'un milliard de dinars, a affirmé le ministre.Il a rappelé, dans le même contexte, que l'Algérie a pris les mesures, ces derniers mois, pour faire face à la menace du virus Ebola, amenant le secteur de la santé à activer le dispositif de surveillance et de lutte, dès le lancement de l'alerte par l'OMS en avril 2014, dispositif qui demeure opérationnel même si le risque demeure faible.De son côté le représentant du bureau de l'OMS à Alger, le professeur Ba Keita, a salué les efforts déployés par l'Algérie pour la performance de son système de santé, avant de souligner que "l'Algérie reste un exemple à suivre en matière de santé en Afrique". Le plan mis en oeuvre par l'Algérie pour la prévention et la lutte contre toutes menaces sanitaires à potentiel épidémique est "des plus performants", a-t-il souligné.A travers ce plan, "l'OMS se félicite du système de santé algérien et de sa capacité à faire face aux situations extrêmes", a-t-il soutenu, précisant que "la qualité et l'efficacité de l'expérience algérienne va de pair avec les efforts internationaux pour éradiquer ces menaces qui constituent un défi majeur pour la communauté internationale".Organisée par le ministère de la Santé, cette rencontre a connu la participation d'une centaine de spécialistes, experts et partenaires de la santé de 25 wilayas, notamment du Sud et des Hauts-Plateaux. En marge de cette rencontre, le ministre a effectué une visite dans les établissements publics hospitaliers de Ghardaïa et de Métlili, pour s'enquérir des conditions de travail et de prise en charge des malades, en cas de menace Ebola.L' Algérie demeure engagée à assumer son rôle, national et régional, pour contribuer à l'effort de la communauté mondiale visant à endiguer les menaces sanitaires à potentiel épidémiologique, a indiqué, jeudi à Ghardaïa, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf.S'exprimant à l'ouverture de la rencontre sur la présentation du plan national de préparation, d'alerte et de riposte, en cas de menaces sanitaires à potentiel épidémique, le ministre a signalé que la prise de conscience de ces menaces a été intégrée dans la politique nationale de santé publique en tant que "priorité", conformément au règlement sanitaire international (RSI) mis en place par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).L'Algérie a intégré dans sa législation nationale, à travers un décret présidentiel, un instrument juridique en conformité avec le RSI adopté par l'ensemble des Etats membres de l'OMS, a-t-il fait savoir, en précisant, à ce propos, qu'un engagement politique, avec une assise juridique, constituent "un gage indiscutable pour la durabilité de notre lutte contre ces menaces". Des mesures appropriées à même de détecter rapidement et de riposter efficacement contre ces maladies ont été mises en place en Algérie, a-t-il encore révélé.Toutes les conditions ont été réunies pour s'insérer dans le RSI et l'Algérie vient de procéder à l'inscription au fonds des urgences d'un programme d'acquisition d'équipements et matériels requis pour la mise à niveau des postes de contrôle sanitaire aux frontières et d'un autre programme de renforcement du stock national de sécurité en moyens de protection, pour un montant de plus d'un milliard de dinars, a affirmé le ministre.Il a rappelé, dans le même contexte, que l'Algérie a pris les mesures, ces derniers mois, pour faire face à la menace du virus Ebola, amenant le secteur de la santé à activer le dispositif de surveillance et de lutte, dès le lancement de l'alerte par l'OMS en avril 2014, dispositif qui demeure opérationnel même si le risque demeure faible.De son côté le représentant du bureau de l'OMS à Alger, le professeur Ba Keita, a salué les efforts déployés par l'Algérie pour la performance de son système de santé, avant de souligner que "l'Algérie reste un exemple à suivre en matière de santé en Afrique". Le plan mis en oeuvre par l'Algérie pour la prévention et la lutte contre toutes menaces sanitaires à potentiel épidémique est "des plus performants", a-t-il souligné.A travers ce plan, "l'OMS se félicite du système de santé algérien et de sa capacité à faire face aux situations extrêmes", a-t-il soutenu, précisant que "la qualité et l'efficacité de l'expérience algérienne va de pair avec les efforts internationaux pour éradiquer ces menaces qui constituent un défi majeur pour la communauté internationale".Organisée par le ministère de la Santé, cette rencontre a connu la participation d'une centaine de spécialistes, experts et partenaires de la santé de 25 wilayas, notamment du Sud et des Hauts-Plateaux. En marge de cette rencontre, le ministre a effectué une visite dans les établissements publics hospitaliers de Ghardaïa et de Métlili, pour s'enquérir des conditions de travail et de prise en charge des malades, en cas de menace Ebola.
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Posté Le : 14/02/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : RAYAN NASSIM
Source : www.lemidi-dz.com