Algérie

Des droits pour mieux vivre



Des droits pour mieux vivre
L'Algérie a ratifié en 1992 la Convention des droits de l'Homme de même que de nombreux traités internationaux et nationaux. Les principes de cette convention sont un ensemble de recommandations prônant la protection de l'enfant. Si la loi garantit les droits fondamentaux aux enfants, sur le terrain la réalité est bien amère. Combien d'enfants vivent dans des conditions déplorables parce que leurs parents sont miséreux ' Combien d'enfants sont traumatisés par une fracture de la cellule familiale et battent le pavé dans les rues des grandes villes ' Ils sont combien à s'échiner pour quelques dinars afin de soulager un père de famille de l'achat de quelques baguettes de pain ou sachets de lait ' Des enfants abandonnés par les deux parents, parce que nés d'une union illégitime ou après un viol, sont les parias d'une société réprobatrice à l'endroit de l'union extra-conjugale. En Algérie, les droits de
l'enfant : on ne connait pas. Quand on pense aux droits on pense d'abord à l'éducation et à la santé. Cela ne suffit pas. Les activités culturelles et sportives ne sont pas à la portée de tous. Aujourd'hui, l'enfant est la proie de tous les fléaux sociaux : drogue, prostitution et l'exploitation au travail. Des associations, comme le réseau Nada ou la Forem, activent sur plusieurs fronts, contre la maltraitance par les parents ou à l'école, les violences sexuelles - mal contrôlées - parce que taboues et les enfants en conflit avec la loi, notamment ceux sans filiation parentale ou encore auteurs de délits ou crimes. Après la Journée internationale de l'enfant, les Nations unies adoptent une convention sur les droits de l'enfant. Une occasion pour relever et souligner toutes les injustices à travers le monde. Qu'il est encore long le chemin pour que les droits de l'enfant de par le monde soient une réalité. Et ces droits-là ne seront effectifs que s'ils sont mis en pratique. En Algérie, les mesures prises jusqu'à ce jour demeurent insuffisantes, cela quand elles sont appliquées. La société civile, l'école, les parents... tous sont concernés pour bâtir cet avenir et où les droits de l'enfant seront une
priorité.
L'Algérie a ratifié en 1992 la Convention des droits de l'Homme de même que de nombreux traités internationaux et nationaux. Les principes de cette convention sont un ensemble de recommandations prônant la protection de l'enfant. Si la loi garantit les droits fondamentaux aux enfants, sur le terrain la réalité est bien amère. Combien d'enfants vivent dans des conditions déplorables parce que leurs parents sont miséreux ' Combien d'enfants sont traumatisés par une fracture de la cellule familiale et battent le pavé dans les rues des grandes villes ' Ils sont combien à s'échiner pour quelques dinars afin de soulager un père de famille de l'achat de quelques baguettes de pain ou sachets de lait ' Des enfants abandonnés par les deux parents, parce que nés d'une union illégitime ou après un viol, sont les parias d'une société réprobatrice à l'endroit de l'union extra-conjugale. En Algérie, les droits de
l'enfant : on ne connait pas. Quand on pense aux droits on pense d'abord à l'éducation et à la santé. Cela ne suffit pas. Les activités culturelles et sportives ne sont pas à la portée de tous. Aujourd'hui, l'enfant est la proie de tous les fléaux sociaux : drogue, prostitution et l'exploitation au travail. Des associations, comme le réseau Nada ou la Forem, activent sur plusieurs fronts, contre la maltraitance par les parents ou à l'école, les violences sexuelles - mal contrôlées - parce que taboues et les enfants en conflit avec la loi, notamment ceux sans filiation parentale ou encore auteurs de délits ou crimes. Après la Journée internationale de l'enfant, les Nations unies adoptent une convention sur les droits de l'enfant. Une occasion pour relever et souligner toutes les injustices à travers le monde. Qu'il est encore long le chemin pour que les droits de l'enfant de par le monde soient une réalité. Et ces droits-là ne seront effectifs que s'ils sont mis en pratique. En Algérie, les mesures prises jusqu'à ce jour demeurent insuffisantes, cela quand elles sont appliquées. La société civile, l'école, les parents... tous sont concernés pour bâtir cet avenir et où les droits de l'enfant seront une
priorité.




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