Ce n'est pas pour provoquer, ni pour cultiver le paradoxe que j'ai choisi ce titre pour mon intervention, car ce paradoxe n'est qu'apparent, comme je souhaiterais pouvoir le montrer.
En effet, Ahmed IBN ABI-DIYAF, historiographe tunisien du XIXe siècle (né en
1802-03 et mort en 1874), fut l'une des figures marquantes du Réformisme tunisien et laissa une œuvre remarquable à travers sa chronique lthat ahl az-zaman bi ahbar
muluk Tunis wa ahd al-aman (Offrande aux contemporains de l'histoire des rois de Tunis et du pacte fondamental), éditée à Tunis par le Secrétariat d'Etat aux affaires culturelles et à l'orientation, en huit volumes, de 1963 à 1965, et rééditée en partie par
la M.T.E. et la S.N.E.D. en 1976. Pour des raisons purement pratiques, c'est cette deuxième Edition que j'ai utilisée pour ce travail.
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Posté Le : 09/02/2024
Posté par : einstein
Ecrit par : - Sraieb Noureddine
Source : Annales de l’université d’Alger Volume 4, Numéro 1, Pages 139-146 1989-07-01