Algérie

Des cybercafés ferment le vendredi



La quasi-totalité des cybercafés ferment le vendredi, jour de repos des fonctionnaires et salariés. De Sidi Moussa à Hussein Dey en passant par El Harrach, ces espaces internet sont fermés et les citoyens notamment les correspondants de presse et certains visiteurs dans la capitale se trouvent ainsi sans un service public que les cybers sont censés fournir conformément à la loi. Sans préavis, les gérants d'espaces internet baissent les rideaux à la fin de semaine. « Le vendredi est jour de repos », lance Kamel, propriétaire d'un espace des plus anciens de Baraki, prétexte contredit par ses collègues de la ville des Eucalyptus. Les espaces d'internet sont considérés, à l'instar d'autres commerces, cafés et restaurants, comme étant des activités relevant du « service public ». N'est-il pas temps, s'interrogent beaucoup de citoyens, de corriger cette anomalie des gérants de cybercafés qui se font rares pourtant dans l'Algérois.


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