Algérie

Des contraintes à lever





Un espace de verdure, le seul poumon hérité par la ville du temps du colonialisme. Déjà,  happée par le béton, cette infrastructure de détente a été à  la faveur d'une cession par l'APC du temps de Bekki Omar cédée à  un privé qui l'a transformée en mini parc zoologique. S'en est suivie une levée de boucliers et une bataille judiciaire qui a valu l'expulsion du locataire. Lors de la visite qui a mené le wali de Tiaret, M. Mohamed Bousmaha, au jardin, des explications ont été fournies tant par le bureau d'études BEMAT, le directeur de l'urbanisme, le chef de daïra que par l'entreprise de réalisation. L'aménagement de l'espace qui s'étale sur 1,2 ha comprendra, outre un bassin artificiel, genre cours d'eau à  circuit fermé et agrémenté d'un jet d'eau, des aires de jeu et de détente, de petits kiosques et, surtout, il sera paré de fresques représentant les figures et les symboles de la région. Implanté au cœur de la ville de Tiaret et cerné par des habitations, le centre culturel français et des services d'Algérie Télécom, l'aménagement du jardin coûterait jusqu'à 100 millions de dinars. La direction d'Algérie Télécom n'attend, d'ailleurs, que l'affectation d'un terrain pour implanter ses dépendances mais les responsables tardent à  dénicher un terrain ou une structure abandonnée.    


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